Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Eléonore Weber

Eléonore Weber a étudié le droit et la philosophie politique à L’EHESS. Elle occupe un temps un poste d’assistante parlementaire au Sénat avant de se consacrer à l’écriture, à la réalisation, et à la mise en scène.

Pour le théâtre, elle a écrit et mis en scène Rendre une vie vivable n’a rien d’une question vaine (Festival d’Avignon, 2007), Tu supposes un coin d’herbe (Festival Mettre en Scène TNB, Rennes, théâtre de la Bastille 2006).

En 2004, elle a mis en scène Je m’appelle Vanessa de Laurent Quinton pour la série de créations Pièces d’identités à La Passerelle, Scène nationale de Saint-Brieuc, repris au Festival Mettre en Scène la même année.

Elle est aussi l’auteur de Manège (2000-2001), commande de Roland Fichet, et de Décadrages (2003). Ces deux pièces ont été mises en scène par Annie Lucas, la première pour la série de créations Naissances, la seconde pour la série de créations Pièces d’identités. Décadrages a été présenté au Festival Frictions (Centre dramatique national de Dijon) en mai 2004.

Au cinéma, elle a réalisé Night Replay en 2012, pour Arte. Ce film a été présenté dans divers festivals, en France et à l’étranger (Festival du film de Belfort, Festival Hors-Pistes au Centre Pompidou, CPH-DOX à Copenhague, IMDb à Montréal). Après une résidence au centre des écritures cinématographiques du Moulin d’Andé, elle réalise en 2007 Les Hommes sans gravité (moyen-métrage de fiction, production Ecce films), présenté au Festival de Clermont-Ferrand, Festival Hors Pistes au Centre Pompidou et à l’étranger.

En 2005, elle réalise Temps morts (court-métrage de fiction, production Le G.R.E.C. – Groupe de Recherches et d’Essais), qui sera sélectionné au Festival du film de Belfort-Entrevues, au Festival de Vendôme, au Festival Côté Court de Pantin, au Festival international du film de femmes de Créteil et présenté au Centre Georges Pompidou en 2006.
Enfin, elle a réalisé Silence dans le fortin, documentaire tourné en Algérie en 2001-2002 (production Point du Jour).

Elle s’associe avec Patricia Allio en 2008.