Constance de Saint Remy

Constance de Saint Remy est autrice, dramaturge et metteuse en scène. Après sa formation universitaire à la Sorbonne-Nouvelle, elle intègre la promotion VI de l’École du Nord, sous la direction de Christophe Rauck, dont elle sort diplômée en 2021. Sa pièce M. in China / Made in Marilyn est mise en maquette au Théâtre du Nord, par Mikaël Serre. Elle est aussi l’une des lauréates du dispositif Prémisses en 2021. Sa pièce pour le jeune public, D’où vient le nom des roses, est publiée en avril 2022 à l’École des Loisirs. Actuellement, elle travaille en tant que dramaturge, avec Timothée Lerolle, sur une adaptation de Lolita, ainsi qu’avec Guillaume Vincent pour sa prochaine création, Vertige (2001-2021). Elle met aussi en scène sa pièce, Lettre à une deuxième mère, interrogeant l’héritage de Simone de Beauvoir, et qui sera créée en mars 2023 au Théâtre de l’Athénée.

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[ENGLISH VERSION] Constance de Saint Remy is a playwright, dramaturge and stage director. After her studies at the Sorbonne-Nouvelle, she joined the 6th school year of the Ecole du Nord, under the supervision of Christophe Rauck. She graduated in 2021. Her play M. in China / Made in Marilyn was staged by Mikaël Serre at the Theatre du Nord. She is one of the laureates of the Premisses call for projects 2021. Her play for children, D’où vient le nom des roses (From where the rose names come from) was published in April 2022 by the Ecole des Loisirs. As a dramaturge, she is working with Timothée Lerolle on a stage adaptation of Lolita, and with Guillaume Vincent on his last show : Vertige (2001-2021). She is also staging her last play, Lettre à une deuxième mère (Letter to a second mother), exploring Simone de Beauvoir’s legacy. The show will be put on in March 2023 at the Théâtre de l’Athénée.

©GuillaumeWeil

Maj 21/04/2023

Justine Berthillot

Justine Berthillot est artiste de cirque, metteuse en scène et en corps. Après des études en philosophie, elle se forme au CNAC – Centre national des arts du cirque, et crée sa première pièce Noosen 2015 au CND à Pantin.

Avec Morgane, compagnie créée en 2015 avec l’écrivaine Pauline Peyrade, dont elle prend la direction artistique à partir de 2023, elle porte des écritures chorégraphiques ouvertes sur des formes de narrations et les écritures littéraires. Elle s’intéresse particulièrement à l’articulation et au frottement possible du corps avec d’autres langages littéraires et/ou plastiques afin de créer des récits hybrides.

Avec Pauline Peyrade, elle crée : Poings, une pièce transdisciplinaire d’après le texte éponyme de Pauline Peyrade, créé au CDN de Vire en 2017 dans le cadre du festival de cirque Spring avec le Pôle cirque La Brèche à Cherbourg ; Carrosse, une pièce itinérante conçue comme un conte noir commandée par Les Scènes du Jura – Scène nationale et La Comédie de Saint-Étienne – Centre dramatique national, crée à Dole en 2019 ; et bientôt, L’Âge de détruire, création en cours (à découvrir en mars 2024 à Théâtre Ouvert).

En 2021, elle crée Notre Forêt, un solo chorégraphique in-situ et immersif au Centre Pompidou-Metz pour le Passages Transfestival, et en 2022, DESORDEN, une performance pour rollers et batterie créée à l’Espace des arts – Scène nationale de Chalon-sur-Saône au festival de danse Transdanses. Elle créera On ne fait pas de pacte avec les bêtes avec Mosi Espinoza qui l’accompagne comme regard extérieur sur toutes ses précédentes créations, en novembre 2023, au Cirque – Théâtre d’Elbeuf.

Elle est artiste associée à la Scène nationale de l’Espace des Arts de Chalon-sur-Saône depuis2020 et jusqu’en 2024 et artiste en création  au CN D à Lyon.

À écouter : L’interview de Justine Berthillot dans le podcast de la collection « Parcours d’artiste » d’Artcena
 

 

©Mosi Espinoza

Maj 18/09/2023

Sarah Delaby-Rochette

Sarah Delaby-Rochette commence par le doublage, pour le studio Folimage dans la Drôme. Elle y double, pour plusieurs saisons, le personnage éponyme de la série Ariol, réalisée par Émilie Sengelin.

Elle intègre ensuite les Cours Florent à Paris, pour trois ans. Elle participe à l’édition du festival des Nuits de Joux de 2017 en tant que metteuse en scène (Les Boulingrins de Courteline) et comédienne (La Cuisine d’Elvis, de Lee Hall, m-e-s collective). En 2017, elle intègre le département de mise en scène de l’ENSATT, à Lyon. Elle y elle assiste Lorraine de Sagazan, Samuel Achache (Hänsel, Gretel…), Métilde Weyergans, Samuel Herculeben 2020 (Ne pas finir comme Roméo et Juliette, Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines) et Clément Bondu (Les Étrangers, créée au Théâtre Sorano, à Toulouse.) Elle monte À sec (chroniques de la fin), texte issu d’une commande passée à Marcos Caramés-Blanco. Le spectacle reçoit la bourse Beaumarchais-SACD Mise en scène en 2021.

À sa sortie de l’ENSATT, elle fonde la compagnie troisbatailles, basée à Crest dans la Drôme, afin de poursuivre son travail de mise en scène, en créant notamment, pour la saison 2023/2024, une autre pièce de Marcos Caramés-Blanco, Gloria Gloria (à découvrir à Théâtre Ouvert du 11 au 20 décembre 2023). Elle signe également la mise en scène de Dany Coiffure, seule en scène écrit et joué par Gaïa Oliarj-Inés, deuxième spectacle de la compagnie.

 

Maj 05/04/23

Bérangère Jannelle

Le nom de la compagnie La Ricotta vient d’un court métrage de Pier Paolo Pasolini, poète, essayiste, dramaturge et cinéaste à laquelle la compagnie rend un hommage amusé.

Après des études de lettres et de philosophie, Bérangère Jannelle entre très jeune sur les plateaux en tant qu’assistante à la mise en scène de Klaus Michael Grüber (en France et en Allemagne), de Carlo Cecchi (en Italie), de Stéphane Braunschweig et Arthur Nauzyciel en France. Elle devient alors autrice, metteuse en scène de théâtre, scénariste et réalisatrice travaillant aussi bien en France qu’en l’étranger.

Au cœur de ses oeuvres, il est toujours question d’enfance, de rituels, de mémoire intime et collective et de paroles.

En 2001, elle crée sa première pièce Décaméron présentée au Festival d’automne à Paris. Depuis lors, elle crée une quinzaine de pièces et devient artiste associée à de multiples théâtres, Centres dramatiques nationaux et scènes nationales notamment le Théâtre de Lorient – Centre dramatique national de Lorient (2000-2004), la Comédie de Reims (2004-2008), le Théâtre de la Ville (2009-2012), la scène nationale de Saint Nazaire ( 2009-2015) la Scène nationale de Châteauroux (2011-1017), le Centre dramatique national de Rouen (2013-2017), le Centquatre à Paris (2015), la MC2 : Grenoble (2016 2019), la Comédie de Reims (2021). Elle participe à plusieurs éditions du Festival d’Automne à Paris (de 2001 à 2015) et est compagnonne de la scène nationale du Sud Aquitain (2020-2023…).

Multilingue, Bérangère Jannelle est présente sur les scènes internationales et nourri un partenariat de longue date avec l’Institut français. Elle a crée des pièces en Italie (Décaméron 2001- Teatro Garbiladi Palermo), au Brésil (O adversatio 2012 à São Paulo, puis 66 Gallery au Festival de Brasilia), en Russie (Goriot au Théâtre de Perm), en Afrique de l’Ouest, Bénin, Togo, Burkina Faso (Afrika democratik room, Récréathrales 2016) en Allemagne (Gespräche 2018)…

Le projet artistique de La Ricotta consiste à écrire pour le monde contemporain, en faisant théâtre de tout. Les sciences humaines et sociales documentent en profondeur le travail pour être  métamorphosées de manière joueuse et sensible. Après avoir mis en scène des pièces de plateau et signé de nombreuses adaptations : Deux champs fondent aujourd’hui la démarche de la compagnie pour la création: « La fabrique théâtrale des savoirs » ( Z comme zigzag 2015, Melancholia europea 2017, Afrika democratic room 2016 Conversations 2019 Les Monstres 2021, Une histoire de l’argent racontée aux enfants et à leurs parents 2023). Cette recherche se fait en pleine coopération avec des habitant·e·s, des enfants, des adolescent·e·s aussi bien que des chercheur·euse·s sur différents territoires.

Le champ de l’écriture par la fiction avec des épopées à la fois intimes et collectives est devenu majeur et fonde désormais pleinement le travail de Bérangère (Lucy in the sky est décédée 2020, Comme le nageur au fond des mers 2024, Le monde en réparation en résidence d’écriture à La Chartreuse). Ici, l’écriture pousse le récit du côté du roman, du cinéma en imbriquant les temporalités, les lieux, faisant de la parole un gage de survie.

Dans les deux cas, c’est la relation au spectateur actif qui anime l’oeuvre. Il est en effet, l’interlocuteur principal de toutes les œuvres.

Lauréate de la villa Medicis, Bérangère réalise son premier film en 2006. En tant que réalisatrice, elle réalise plusieurs longs métrages documentaires (« Sans Terre » produit par Morgane Production et la chaîne voyages, « Les Lucioles » produit par Tamara films (Prix du jury au FIFIB), Markowicz, appartement n°7 produits par Tamara films, BIP TV et soutenu par le CNC). Elle est co-scénariste de longs métrages de fiction avec Idir Serghine (« Notre Royaume »), Antoine Barraud (« Le dos rouge », « Les trois sœurs ») et sous contrat d’écriture pour un film de fiction (Tamara Films, CNC, Procirep, Région Bourgogne Franche Comté). Ses films ont été projetés dans de nombreux festivals et achetés notamment par le Musée d’art contemporain de Bolzano (Italie) le MACBA à Barcelone.

 

Maj 22/05/23

Padrig Vion

Originaire de Bretagne, Padrig intègre en 2017 la promotion 38 de la Classe Libre du Cours Florent. En 2018, il participe au Prix Olga Horstig au théâtre des Bouffes du Nord dirigé par Julie Brochen, et il joue « Fantasio » au théâtre du Train Bleu pour le Festival d’Avignon.

En 2019, il rentre au CNSAD. Il y a suivi les classes de Valérie Dréville et Nada Strancar, avant de participer aux créations des spectacles Merlin ou la Terre dévastée mis-en-scène par Camille Bernon et Simon Bourgade et Le rameau d’or de Simon Falguieres.

Au théâtre, il joue dans Le conte d’hiver de William Shakespeare mis en scène par Agathe Mazouin et Guillaume Morel, créé au CNSAD et programmé au TGP en mai 2025. En septembre 2024, il joue dans l’adaptation scénique de La confession d’un enfant du siècle d’Alfred de Musset par Léna Paugam et Pierre Koestel. En octobre 2024, il participe en tant que comédien au festival du Jamais Lu-Paris.

Au cinéma, il a tourné dans Au revoir là-haut d’Albert Dupontel, La douleur d’Emmanuel Finkiel, Captives d’Arnaud des Pallières, Monsieur Aznavour de Grand Corps Malade et Mehdi Idir. Il fait également en 2024 la voix française du héron dans Le Garçon et le Héron de Hayao Miyazaki.

En 2022, il écrit et met en scène sa première pièce pour deux acteurs, Drame Bourgeois, suivi en 2023 par Murmures. Ses deux premiers textes sont programmés à Théâtre Ouvert en 2024. Sa troisième pièce Entre L. sera créée à la saison prochaine au sein du dispositif Jeunes Pousses de la Maison Maria Casarès. 

©India Lange

Maj 25/10/24

Maryse Lapierre

Maryse Lapierre est comédienne et metteuse en scène. Elle fait partie de la promotion 2003 en jeu du Conservatoire d’art dramatique de Québec.

À titre de comédienne, elle a joué dans une vingtaine de productions. Entre autres, on a pu la voir dans CHS, Cyrano de Bergerac, La Cerisaie, Thérèse et Pierrette à l’école des Saints-Anges, Jocaste Reine, Faire lamour et Venir au monde.

Au cours des dernières années, elle a signé la mise en scène de Lhiver dedans, Mme G, Extras et ordinaires, Terre Promise (tableau qui s’inscrivait dans le parcours déambulatoire Où tu vas quand tu dors en marchant…? présenté dans le cadre du Carrefour international de théâtre de Québec), Hypo, spectacle sélectionné pour la meilleure mise en scène aux Prix Théâtre 2018, et Les Plouffe, une coproduction du Théâtre du Trident et du Théâtre Denise-Pelletier, prix de la meilleure mise en scène au Prix Théâtre (2020).

 

©Julie Artacho

Maj 1/09/22

Marie-Ève Milot

Marie-Ève Milot est comédienne, metteuse en scène et autrice. À titre d’interprète, elle a participé à plus d’une vingtaine de productions théâtrales. On a pu la voir à la Colline dans Les barbelés d’Annick Lefebvre et Les filles du Saint-Laurent de Rébecca Déraspe (en collaboration avec Annick Lefebvre), sous la direction d’Alexia Bürger. Elle a campé une dizaine de rôles dans diverses séries télévisées dont Les pays den haut et elle joue présentement dans la série dramatique 5e Rang. Codirectrice artistique du Théâtre de l’Affamée avec Marie-Claude St-Laurent, elle a coécrit plusieurs pièces dont SapphoGuérilla de lordinaire (finaliste au Prix Michel-Tremblay 2019), Chienne(s)branchée/Unplugged (finaliste au Prix Louise-LaHaye 2017) et Cour à Scrap – portrait dune famille reconstituée. Elle a mis en scène les quatre dernières créations de sa compagnie, ainsi que Sissi de Nathalie Doummar au Théâtre de la Licorne. Elle a fait paraître La coalition de la robe, un documentaire indiscipliné écrit avec Marie-Claude Garneau et Marie-Claude St-Laurent. À trois, elles occupent la direction littéraire de La Nef, la collection de théâtre féministe des Éditions du remue-ménage. Membre du comité directeur du Chantier féministe d’Espace GO au printemps 2019, elle a collaboré à l’étude menée par les chercheuses du RéQEF et a participé à la création du Prix Jovette-Marchessault. 

 

 

©Pascale Méthot

Maj 1/09/22

Steve Gagnon

Comédien, auteur et metteur en scène, Steve Gagnon est diplômé du Conservatoire d’art dramatique de Québec.

Il s’est fait connaître par ses rôles dans les séries Ruptures, Plan B, L’échappée, Ma mère et dans la populaire quotidienne STAT en plus d’interpréter de nombreux rôles au théâtre, notamment dans Lysis mise en scène par Lorraine Pintal, Je t’écris au milieu d’un bel orage m.e.s. par Maxime Carbonneau, Un ennemi du peuple m.e.s. par Édith Patenaude, ainsi que Mody Dick m.e.s. par Dominique Champagne.

À titre d’auteur, Steve Gagnon reçoit en 2008 la bourse Première Œuvre, pour sa pièce La Montagne rouge, également finaliste pour le Prix du Gouverneur général en 2011. Se sont ensuivies les pièces Ventre et En dessous de vos corps, je trouverai ce qui est immense et qui ne s’arrête pas. En 2015 paraît l’essai Je serai un territoire fier et tu déposeras tes meubles, publié par Atelier 10. OS : La Montagne blanche, s’est mérité le prix Marcel-Dubé en plus d’être finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur général en 2017. Sont ensuite parus aux Éditions l’Instant même les pièces Pour qu’il y ait un début à votre langue, Les étés souterrains, ainsi que Anna, ces trains qui foncent sur moi. Et aux Éditions La Bagnole en 2023, le livre jeunesse 22 guimauves autour du monde.

 

©Jean-Sébastien Sénécal
MAJ 01/10/24

Louise Levêque

Louise Levêque se définit comme conceptrice de « poèmes vivants ». À la tête de la compagnie Vivre dans le feu, elle travaille la frontière du réel et du poétique comme espace d’imaginaire et de liberté impliquant le public, coauteur de l’œuvre qui se joue.

De formation théâtrale, Louise pense ses pièces comme des expériences sensorielles. Ceci la conduit à investir différents champs disciplinaires (littérature, musique, performance, magie, arts plastiques) et à s’entourer d’experts en fonction des projets. Elle a collaboré notamment avec la compagnie de magie nouvelle 14:20, le compositeur de musique concrète et acousmatique Eric Broitmann, le collectif de musique Les Vibrants Défricheurs et le violoniste Frédéric Jouhannet, le collectif de théâtre d’objet Aïe, Aïe, Aïe, la compagnie de chant lyrique Stein-Lein-Chen.

Chaque nouvelle création est l’occasion d’imaginer un dispositif spécifique impliquant le public : des banquets spectacles (Pantagruel, 2011, Russie, mon Amour, 2013), une installation plastique et numérique immersive (Plus loin, CENTQUATRE, 2014), des formes performatives (Le Projet Harms, performance poétique et musicale en constante évolution, La Bibliothèque Vivante), des randonnées spectacles (Adieu, L’Appel de la forêt, Sauvage(s)). Dans ses formes scéniques (L’Ailleurs, peut-être, 2014 / Le Violon du fou, 2017 / KAOS, 2020), elle utilise la technique et la musique contemporaine pour plonger le public dans un écrin et créer les conditions d’implication des spectateurs. Ces expériences sensibles, proposées aux acteurs et aux spectateurs, rendent possible le lien entre réel et fiction. Chaque proposition repose sans cesse cette question : comment faire de sa vie un poème ?

 

Maj 23/08/22

Yuval Rozman

Après des études au Conservatoire national de Tel-Aviv, Yuval Rozman crée sa compagnie en 2010 et développe ses propres travaux comme auteur-metteur en scène.

Son spectacle Cabaret Voltaire, avec l’acteur palestinien Mohammad Bakri, reçoit les félicitations du jury et le 1er prix du C.A.T International Theatre Festival d’Israël : meilleure pièce, meilleure mise-en-scène, meilleure musique originale et meilleure chorégraphie. Au festival actOral – Marseille, il présente deux mises en espaces Jecroisenunseuldieu de Stefano Massini en 2013 puis Sight is the Sense de Tim Etchells avec Laetitia Dosch en 2014. Cette même année, il assiste Hubert Colas sur Nécessaire et Urgent d’Annie Zadek.

En 2015, il joue dans La Mégère apprivoisée mis en scène par Mélanie Leray, en 2016 dans Face au mur de Martin Crimp et en 2017 dans Une Mouette et autres cas d’espèces, tous les deux mis en scène par Hubert Colas.

En tant qu’auteur, il écrit Sous un ciel bleu et des nuages blancs, Cabaret Voltaire, puis il co-écrit Un Album avec Laetitia Dosch. En 2017, il écrit Tunnel Boring Machine qui reçoit les encouragements de la commission CNT/ARCENA en 2018. La pièce a été jouée à Valenciennes et Tournai, dans le cadre du festival Next, à Vanves dans le cadre d’Artdanthé, au Tandem Scène nationale d’Arras, à la Maison de la culture de Bourges, au Théâtre du Nord à Lille et au Festival Latitudes Contemporaines. TBM a été accueilli en résidence d’écriture à Montévidéo à Marseille, à la Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon et au Tripostal à Lille. En 2018, Yuval Rozman a collaboré également avec Laetitia Dosch à l’écriture et à la co-mise en scène de la pièce HATE, présentée entre autres à Vidy – Lausanne, et à Nanterre-Amandiers CDN dans le cadre du Festival d’Automne et récemment aux 2 scènes, Scène nationale de Besançon.

Sa dernière pièce, The Jewish Hour, créée en mars 2020 au phénix Scène nationale de Valenciennes, est lauréate du prix du jury au festival Impatience 2020 et a obtenu la bourse Beaumarchais-SACD. Cette même année, Yuval Rozman collabore de nouveau avec Laetitia Dosch pour la création de Radio Arbres.

En 2021, il assiste Julien Andujar dans la mise en scène de Tatiana (création novembre 2022), ainsi qu’Hélène Iratchet pour Delivrés. En 2021 il a également fait parti du jury de la 13ème édition du festival Impatience et, en 2022, du jury SACD-Beaumarchais pour la commission d’automne.

Actuellement, Yuval Rozman travaille sur son prochain spectacle Ahouvi, création en février 2023, alors qu’Adesh, dernier volet de la Quadrilogie de ma Terre, a reçu le soutien de l’Institut Français dans le cadre d’une « Résidence Sur Mesure » et verra le jour à la saison 2024-2025

 

©DR

Maj 14/06/21