Louna Billa

En Juin 2021, Louna Billa est diplômée du master mise en scène et dramaturgie de l’université Paris Nanterre où elle créée une première forme théâtrale, Bar qui propose de restituer l’environnement sonore des serveur·euse·s. En parallèle de ces études, elle reçoit une formation en arts dramatiques au conservatoire régional de Lille, qui axe sa pratique sur les écritures contemporaines ainsi que le travail du masque.

 

Maj 13/06/22

Laurent Charpentier

Laurent Charpentier commence le théâtre à Biarritz aux théâtres du Versant et du Rivage auprès de Gaël Rabas et Pascale Daniel-Lacombe. Il se forme ensuite au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris dans les classes de Dominique Valadié, Catherine Hiegel, François Regnault.

En tant que comédien, il joue auprès de nombreux metteurs en scène : Bernard Sobel, Alain Françon, Emmanuel Demarcy-Mota, Lukas Hemleb, Brigitte Jaques-Wajeman, Jeanne Champagne, Frédéric Maragnani, Caterina Gozzi, Matthieu Roy, Jonathan Châtel, Sandrine Lanno, Emilie Rousset, Thibault Rossigneux,Régis de Martrin-Donos.

Sous la direction de Julia Vidit, il crée Illusions de Viripaev et La Bouche pleine de Terre de Scepanovic. Il travaille aussi régulièrement avec Mirabelle Rousseau (Le TOC), créant plusieurs spectacles autour de poètes originaux: Ma Langue de Christophe Tarkos, Comment j’ai écrit certains de mes livres de Raymond Roussel, et une forme itinérante autour de l’œuvre de Mallarmé.

Il est également interprète et collaborateur artistique pour la création Les Tables tournantes d’après les expériences spirites du XIXème siècle. Avec la Compagnie Les Brigands, il met en scène une opérette imaginaire autour de l’œuvre du compositeur Hervé. Depuis 2007, il travaille en collaboration avec Philippe Minyana qui lui écrit le solo J’ai remonté la rue et j’ai croisé les fantômes (mise en scène Monica Espina), puis Sous les arbres (mise en scène Frédéric Maragnani), De l’amour (mise en scène de l’auteur) et 21 rue des Sources, pièce créée au Théâtre du Rond- Point en novembre 2020.

En 2021, il fonde la compagnie Théâtre O et mettra en scène une pièce inédite de Philippe Minyana Frères et sœur, au Théâtre de la Ville – Espace Cardin en mars 2022.

Il enregistre également de nombreuses dramatiques pour Radio France et des livres audio pour les Editions Sixtrid. Au cinéma et à la télévision, il tourne avec Philippe Garrel, Nicolas Klotz, Bernard Stora, Renaud Bertrand, Caroline Deruas. Il est représenté par Dominique Dauba (AML). Il est également professeur d’art dramatique au Cours Florent, depuis 2015, où il dirige des classes de 1ère et 2ème année ainsi qu’un enseignement sur le vers au cours de l’histoire du théâtre français.

 

Maj 1/06/22

Thibaut Galis

Après une formation littéraire, Thibaut Galis rejoint le Master Mise en scène et Dramaturgie à Nanterre en 2021. Dans cette formation, il travaille au côté de Sabine Quiriconi, Christophe Triau, Pascale Gateau, Marie-Christine Soma, David Lescot, Agnès Bourgeois ou encore Matthieu Lorry-Dupuy. Au cours de ce master, il effectue deux assistanats à la mise en scène : le premier sur la pièce Rémission, mise en scène par Eugen Jebelanu et écrite par Yann Verburgh ; le deuxième, avec Jade Herbulot et Julie Bertin, sur le spectacle de sortie de la promotion 2022 de l’ESAD.

Avec plusieurs partenaires artistiques, il fonde en 2021 le Compagnie Sur Nos Lèvres en Normandie (Caen) dont il est actuellement le directeur artistique. Cette même année, il crée Penché au bord du monde, soutenu par plusieurs institutions universitaires. En tant qu’auteur, il gagne le prix Tremplin du CROUS et le prix de l’écriture de troupe au Festival Écarts. Par la suite, il travaille sur sa deuxième création Sortir de la nuit qu’il écrit et met en scène. Cette pièce, abordant le sujet des thérapies de conversion, est mise en espace en février 2023 à Théâtre Ouvert. Lors de cette saison, il propose également son premier seul-en-scène performatif, Chaussure d’Enfant qui décrypte le parcours d’un adolescent gay à la campagne. En 2023, il commence à écrire Enfants du béton, une pièce qui aborde le travail du sexe et le désenchantement de la jeunesse contemporaine. Dans les saisons à venir, il créera également Léo et Trinity, un projet jeune public autour des violences homophobes à l’école.

En parallèle de ces activités d’auteur-metteur en scène, il a fait partie du Cercle des jeunes dramaturges à Théâtre Ouvert pendant deux saisons, participant à la lecture des textes reçus par le théâtre.

En dehors du théâtre, il écrit aussi des œuvres de fiction et d’autofiction, publiées dans Friction Magazine mais également dans la revue Les Embrouillements. Il est également en train d’achever son premier roman, Hélios, l’histoire d’un personnage queer en quête de justice face aux traumatismes qu’iel a subi. 

 

Maj 03/07/24

Maëlle Dequiedt

Maëlle Dequiedt, avec sa compagnie La Phenomena, crée des formes entre théâtre, musique, film et performance, souvent nourries par son expérience du territoire. Elle se dédie également aux nouvelles écritures dramatiques, collaborant notamment avec les auteur·rice·s Marcos Caramés-Blanco, Penda Diouf, Claudine Galéa, Frédéric Vossier.

Maëlle Dequiedt se forme en mise en scène à l’école du Théâtre National de Strasbourg dont elle sort diplômée en 2016 . Elle y crée Penthésilée de Heinrich von Kleist, Au bois de Claudine Galea et collabore notamment avec les metteur·se·s en scène Thom Luz et Séverine Chavrier. À partir de septembre 2017 avec sa compagnie la Phenomena, elle est lauréate du dispositif CLUSTER initié par le bureau de production Prémisses, elle est alors artiste associée pour trois saisons au Théâtre de la Cité Internationale, où elle présente Trust-karaoké panoramique d’après Falk Richter, Pupilla de Frédéric Vossier et I Wish I Was (création collective, octobre 2020).

À l’opéra, elle est metteuse en scène en résidence à l’Académie de l’Opéra National de Paris en 2016-17, pour laquelle elle crée Shakespeare-Fragments nocturnes. Elle crée à l’Opéra de Lille, Les Noces, Variations, d’après les Noces de Figaro de Mozart en mars 2020. En 2023, elle créera  « A brief draft of human desires », une création originale avec les chanteur.euse·s de l’opéra studio de  l’Opera Ballet Vlandereen à Gand.

À partir de 2018, sa compagnie la Phenomena mène une résidence longue de territoire dans le Nord – à Denain puis Douchy-les-Mines – soutenue par le pôle européen de création Valenciennes-Amiens et la région Hauts-de-France, elle intervient ponctuellement pour des ateliers de pratique et de formation notamment auprès de lycéens au CDN d’Orléans, pour le programme Éducation et proximité du TNS, auprès des chefs de choeur de l’Opéra de Lille et des chanteurs du studio de l’Opéra national du Rhin. Elle intervient régulièrement à l’ENSATT.

En 2021-22, elle met en scène Gorgée d’eau de Penda Diouf, à l’invitation de la Colline, du TNS, de la Comédie de Reims et du Grand T. En juin 2022, elle mettra en scène les élèves comédien·ne·s de la promotion 2019-2022 de l’ESAD à partir d’un travail collectif autour de la Stratégie du choc de Naomi Klein.

 

©Alexis Vettorretti

Maj 13/03/22

Michel-Maxime Legault

Michel-Maxime Legault est diplômé du Conservatoire d’art dramatique de Québec. Il est cofondateur du Théâtre de la Marée Haute pour lequel il a signé les mises en scène de Cr#%# d’oiseau caveCentre d’achatsCe que nous avons faitIrène sur MarsParfois, la nuit, je ris tout seul, KvetchRhapsodie-BétonTop dogs et Kick. Il a aussi mis en scène Les bâtisseurs d’Empire ou le Schmürz, Savoir CompterStop the tempoComment je suis devenue touristeMenteurLe spectateur condamné à mortLes conjointsWarwick, ainsi que plusieurs théâtres d’été dont Zaza d’abord et À la recherche d’Elvis présentés au Théâtre des Cascades. Depuis 2005, il a joué dans plusieurs pièces dont Dans ma maison de papier, j’ai des poèmes sur le feuLes SavantsVie et Mort du Roi Boiteux, Cock, Les Jumeaux Vénitiens, De l’Amour et des Restes Humains, Le Père Noël est une ordure et Piaf.

À la télévision, on a pu le voir dans Les Beaux Malaises, Lâcher PrisePure LaineLes pieds dans la Marge, District 31 et Toute la Vérité. Il est également diplômé d’une neuvième année de piano classique à l’École de Musique Vincent-d’Indy. Il a enseigné le jeu scénique d’opéra à l’Université Laval et l’Université de Sherbrooke. Il est également professeur d’interprétation invité dans les différentes écoles de théâtre au Québec et a donné dernièrement une classe de maître au Conservatoire de Nice. Il prépare son premier texte solo, ainsi qu’une adaptation d’un roman de Jean-Paul Dubois. Il écrit également une websérie réalisée par Lyne Charlebois et jouera dans deux productions prochainement: Les Plouffe et Vermine Radieuse. Michelin est son tout premier essai comme auteur dramatique.

©DR

Maj 27/08/24

Philippe Canales

Diplômé du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (promotion 2006).

Philippe Canales joue sous la direction de Matthieu Roy (Histoire damour, Lagarce ; Drames de Princesses, Jelinek ; Peer Gynt, Ibsen ; Lamour conjugalMoravia ; La Conférence et Un doux reniement, Pellet ;  Martyr, Mayenburg ; Days of nothing, Melquiot), Alexandre Zeff (Le Monte-plats et Celebration, Pinter), Jorge Lavelli (Himmelweg, Mayorga), Jacques Kraemer (Agnès 68), Volodia Serre (Le Suicidé, Erdman), Mylène Bonnet (Journée de noce chez les Cromagnons, Mouawad), Lazare Herson-Macarel (Peau dÂne ; Cyrano, Rostand) Clémence Weill (Mars, Fritz Zorn ; À l’éternel retour de la chance) et Jérémie Sonntag et Florian Goetz (Fahrenheit 451).

Convaincu de l’utilité publique de l’éducation populaire par le théâtre, il fait le choix de consacrer un quart de son activité professionnelle à l’élaboration et la coordination de projets pédagogiques.

Il dirige par ailleurs depuis 2011 la plateforme TRANSVERSALES : échanges artistiques avec le territoire de Saint-Pierre et Miquelon, dont il est originaire. Il est aussi responsable du pôle pédagogie – action culturelle pour le Nouveau Théâtre Populaire et pour la Maison Maria Casarès.

 

©Thierry Cantalupo

Maj 1/09/22

Astrid Bayiha

Astrid Bayiha est comédienne, autrice, metteuse en scène et chanteuse.

Juste après l’obtention d’une Licence d’LLCE Anglais à la Sorbonne Nouvelle de Paris en 2007, elle se forme au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris avec Andrzej Seweryn, Guillaume Gallienne, Mario Gonzalez, Michel Fau, Yves Boisset et Sandy Ouvrier. Depuis sa sortie en 2010, elle a travaillé – entre autres – sous la direction de Catherine Riboli, Irène Bonnaud, Gerty Dambury, Eva Doumbia, Paul Desveaux, Bob Wilson, Mounya Boudiaf, Jacques Descorde, Hassane Kassi Kouyaté, Julie Kretzschmar, Arnaud Churin, Françoise Dô, Stéphane Braunschweig, Elemawusi Agbedjidji, Nelson-Rafaell Madel, Sébastien Bournac, Pierre-Marie Baudoin…

En 2018, elle crée la Compagnie HÜRICÁNE et son premier spectacle, MAMIWATA, duquel elle signe aussi l’écriture.

Il sera joué au Théâtre Gérard Philipe – CDN de Saint-Denis, au Théâtre de l’Opprimé à Paris, à Tropiques Atrium La Scène Nationale de la Martinique puis à La Criée Théâtre National de Marseille entre 2018 et 2019.

Sa deuxième pièce, JE SUIS BIZARRE, parue aux Éditions Koïnè au mois de juin 2020 est lauréate du prix « Coup de coeur » des lycéen.e.s de Loire-Atlantique (COMETE), finaliste du prix PlatO, et finaliste de TEXT’ENJEUX.

Elle en présente une maquette au Lavoir Moderne Parisien au mois de novembre 2021 et le spectacle sera crée en décembre 2022 à la Manekine – Scène Conventionnée des Hauts de France. Il tourne de février à mars 2023 au Théâtre du Chevalet à Noyon, à la Maison du Théâtre d’Amiens, et à Tropiques Atrium – La Scène Nationale de la Martinique.

Son dernier projet, M COMME MÉDÉE – un montage de texte et une adaptation autour du mythe de Médée – est crée à Tropiques Atrium en février 2023 et sera repris au Théâtre de la Tempête au mois de novembre 2023.

Durant la saison 2022/2023, elle tourne avec le seule en scène créé par Paul Desveaux, ANGELA DAVIS, UNE HISTOIRE DES ÉTATS-UNIS, aux États-Unis (Princeton French Theater Festival, Ambassade de France à Washington, Mount Holyoke College), en Guadeloupe (l’Artchipel – Scène Nationale de Guadeloupe) et en Martinique (Tropiques Atrium – Scène Nationale de la Martinique).

Elle joue également dans 2 créations en tant que comédienne : FICTIONS D’ASILE de et par Pierre-Marie Baudoin, créé en novembre 2022 au Théâtre 13, et WELFARE par Julie Deliquet, crée en juillet 2023 dans la Cour d’Honneur du Palais des Papes pour la 77è édition du Festival d’Avignon.

Son activité d’autrice l’amène à régulièrement répondre à des commandes d’écriture : Revue « The New Firemen », Festival Du Jamais Lu – Paris, Collectif Créature, Site d’information culturel l’Oeil d’Olivier.

Astrid Bayiha a été artiste associée à Tropiques Atrium – La Scène Nationale de la Martinique durant la saison 2022/2023.

 

©Julie Reggiani

Maj 12/10/23

crédit photo : Julie Reggiani

Robert Cantarella

Robert Cantarella est né à Marseille. Il y suit une formation aux Beaux-Arts puis devient ensuite élève d’Antoine Vitez à l’Ecole du Théâtre National de Chaillot.
Il fonde en 1983 le Théâtre du Quai de la Gare, crée, en 1985, la Compagnie des Ours avec la volonté de faire découvrir ou redécouvrir les auteurs du XXe siècle.
En 1987, la création d’Inventaires de Philippe Minyana, à Nouvelles Scènes (Dijon) marque le début d’une amitié et d’un compagnonnage avec l’auteur, dont Robert Cantarella monte successivement Les Petits Aquariums (1989), Les Guerriers (1991), Drames Brefs 1 (1996), Anne-Laure et les fantômes (1999), Pièces (2001), Ça va (2005). Ensemble, ils cosignent la mise en scène du Sang chaud de la terre de Christophe Huysman.
Depuis 1989, Robert Cantarella a mis en scène des pièces aussi bien classiques que contemporaines, notamment Le Voyage d’Henry Bernstein, Divertissements touristiques de Noëlle Renaude, Sourire des mondes souterrains de Lars Nören, Le Siège de Numance de Cervantès (Festival d’Avignon, 2012), J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne de Jean-Luc Lagarce, Sa Maison d’été de Jane Bowles, Oncle Vania de Tchekhov, Hamlet de William Shakespeare, Le Chemin de Damas d’August Strindberg et Hyppolite de Robert Garnier pour le Festival d’Avignon 2007.
Depuis 1993, Robert Cantarella exerce également une activité régulière de formation tant en France qu’à l’étranger notamment à Berlin, Cannes, Avignon, Rabat, Lausanne ainsi qu’à la FEMIS à Paris.
En 1997, il est co-auteur avec Jean-Pierre Han, du manifeste Pour une formation à la mise en scène (Ed. Entre/Vues).
Il crée en 1999 l’Association Théâtres Écritures ayant pour objet la réalisation et la publication d’une revue intitulée Frictions, pour favoriser la réflexion et la recherche dans le domaine du spectacle. Par ailleurs, il collabore régulièrement à des revues littéraires, théoriques ou poétiques comme Vertigo, Lignes, Fusée, Communication, Frictions, If.
Il est nommé directeur du Centre dramatique national de Dijon en juillet 2000.
Il publie en 2004 sa première œuvre de fiction : Le Chalet aux éditions Lignes dirigées par Michel Surya et réalise en 2005 un premier documentaire Carrosserie.
De décembre 2005 à mars 2010, il a été co-directeur du CentQuatre à Paris, avec Frédéric Fisbach, un lieu de résidence d’artistes à l’emplacement des anciennes pompes funèbres de Paris.
Aujourd’hui, il continue de commander des nouveaux textes, à Christophe Honoré, Philippe Minyana et Noëlle Renaude et est lui-même l’auteur de performance comme Faire le Gilles sur les cours de Gilles Deleuze.

Marc-Antoine Granier

Après une formation dans le domaine du son, Marc-Antoine Granier se tourne vers la création sonore, la radio et la musique électronique.
Autodidacte du sampling, la musique est d’abord pour lui une affaire de curiosité, de mélanges des genres et d’influences multiples : de la musique concrète jusqu’aux sphères électroniques. Bruits électriques, technos, fréquences sinueuses, mélodies rêveuses, la composition sonore et musicale doit être « personnelle, colorée et inventive ».
Il met son savoir-faire au service de vidéastes, compagnies de danse ou pour des installations sonores. Parallèlement il développe des activités radiophoniques qui vont de la prise de son à la diffusion, où « écriture documentaire » et travail sonore s’entremêlent.
Il collabore et développe son travail avec la compagnie KompleXKapharnaüM depuis 2006.

Eléonore Weber

Eléonore Weber a étudié le droit et la philosophie politique à L’EHESS. Elle occupe un temps un poste d’assistante parlementaire au Sénat avant de se consacrer à l’écriture, à la réalisation, et à la mise en scène.

Pour le théâtre, elle a écrit et mis en scène Rendre une vie vivable n’a rien d’une question vaine (Festival d’Avignon, 2007), Tu supposes un coin d’herbe (Festival Mettre en Scène TNB, Rennes, théâtre de la Bastille 2006).

En 2004, elle a mis en scène Je m’appelle Vanessa de Laurent Quinton pour la série de créations Pièces d’identités à La Passerelle, Scène nationale de Saint-Brieuc, repris au Festival Mettre en Scène la même année.

Elle est aussi l’auteur de Manège (2000-2001), commande de Roland Fichet, et de Décadrages (2003). Ces deux pièces ont été mises en scène par Annie Lucas, la première pour la série de créations Naissances, la seconde pour la série de créations Pièces d’identités. Décadrages a été présenté au Festival Frictions (Centre dramatique national de Dijon) en mai 2004.

Au cinéma, elle a réalisé Night Replay en 2012, pour Arte. Ce film a été présenté dans divers festivals, en France et à l’étranger (Festival du film de Belfort, Festival Hors-Pistes au Centre Pompidou, CPH-DOX à Copenhague, IMDb à Montréal). Après une résidence au centre des écritures cinématographiques du Moulin d’Andé, elle réalise en 2007 Les Hommes sans gravité (moyen-métrage de fiction, production Ecce films), présenté au Festival de Clermont-Ferrand, Festival Hors Pistes au Centre Pompidou et à l’étranger.

En 2005, elle réalise Temps morts (court-métrage de fiction, production Le G.R.E.C. – Groupe de Recherches et d’Essais), qui sera sélectionné au Festival du film de Belfort-Entrevues, au Festival de Vendôme, au Festival Côté Court de Pantin, au Festival international du film de femmes de Créteil et présenté au Centre Georges Pompidou en 2006.
Enfin, elle a réalisé Silence dans le fortin, documentaire tourné en Algérie en 2001-2002 (production Point du Jour).

Elle s’associe avec Patricia Allio en 2008.