Qualification : Équipe artistique
Léa Lefèvre
Léa découvre le piano à l’âge de sept ans. Après un cursus scolaire en horaires aménagés au CRR de Tours, elle obtient son prix de piano puis intègre ensuite la classe de Fernando Rossano au CRR de Saint-Maur-des-Fossés. Admise à l’Ecole Supérieure de Musique et Danse de Lille, elle obtient sa licence et se perfectionne au Conservatoire Royal de Mons en Master d’interprète auprès de Jean-Michel Dayez. Motivée par le besoin de transmettre sa passion pour la musique, elle approfondit sa recherche pédagogique grâce à l’obtention d’un Diplôme d’état et enseigne dans plusieurs établissements et conservatoires du Nord-Pas-de-Calais. Souhaitant parfaire son appétit de la musique de chambre, elle intègre le master d’accompagnement de la HEMU Haute Ecole de musique de Lausanne à la rentrée 2024. Sa passion pour la musique l’anime et c’est naturellement qu’elle aime se produire sur scène et particulièrement dans la joie de la connivence propre à la musique de chambre.
©Hugo Parret
MAJ 25/09/24
Lou Dupleix-Pinat
Lou Dupleix-Pinat est comédienne et metteuse en scène.
Elle débute sa formation artistique à Bordeaux, à la faculté, en Arts du spectacle, dirigée par Pauline Beaucé et au conservatoire, sous la direction de Sandrine Hutinet. Pendant 7 ans, elle travaille aux côtés du collectif Pampa, en les accompagnant lors de leur Festival à travers différents postes et en figurant dans certaines pièces. Dans le même cadre, elle y adapte un essai Moi et Mon double de Witold Gombrowicz en 2018. En 2021, elle guide et met en scène une écriture collective, Dahlia. Elle y co-met en scène Les Serpents de Marie NDiaye en 2022. Elle s’associe à Max Unbekandt, pour la construction de son projet Des mains Glacées.
©Laura Lanaspa
MAJ 20/09/24
Antoine Layère
Formé au conservatoire en Percussions contemporaines, Écriture musicale et Composition électroacoustique, Antoine a également étudié les percussions afro-cubaines, le gamelan javanais, et le vibraphone jazz. Il joue également du piano, de divers synthétiseurs et de son ordinateur.
Parmi les percussions, il pratique en particulier le vibraphone, les congas, le marimba, les udus et divers sets de percussions à géométrie variable.
Antoine joue avec La Chimba – Cumbria chicha -, MOPA -transe orchestrale-, IDR – dispositif acousmatique- et Vallade – duo contemporain-.
Pour le théâtre, la danse, la performance ou le podcast, il a notament composé les musiques pour V. Khamphommala, T. Dubus, Machine Molle, le collectif Lyncéus, L. Paugam, S. Depommier, A. Fadinard.
MAJ 17/09/24
Marie Bos
Marie Bos est née en France, dans le Jura. Après des études de lettres et une collaboration de plusieurs années avec la compagnie bisontine Gravitation, Elle entame une formation de comédienne (1996-1999) à L’INSAS à Bruxelles. A sa sortie, elle travaille avec de nombreux créateurs Belges dont Wim Vandekeybus en 2001 avec Scratching the Inner fields, la compagnie flamande Marius (ex De Onderneming) avec qui elle a entr’autre créé La république des rêves à partir de nouvelles de Bruno Schulz en 2005 au Havre puis à Anvers au De Singel. Elle reprend également le rôle d’ Honorine dans la trilogie Marius, Fanny, César de Marcel Pagnol, joué dans diverses structures en France et en Belgique.
Du côté francophone elle travaille à plusieurs reprises avec Claude Schmitz (Amerika en 2005, Mélanie Daniels kunstenfestival 2013), Guillemette Laurent (Mara/Violaine en 2008, Le Fond des Mers, d’après Ibsen), Stephane Arcas (Retour à Reims d’après Didier Eribond , Bleubleu en 2013 , L’argent, 2012), Françoise Bloch, Isabelle Pousseur…
En mars et mai 2016, elle joue dans Nous sommes repus mais pas repentis d’après Déjeuner chez Wittgenstein de Thomas Bernhard, mise en scène de Severine Chavrier, au théâtre Vidy-Lausanne, puis à l’Odeon à Paris. Spectacle toujours en tournée en France.
Au cinéma elle joue entre autre le premier rôle du film Amer, réalisé par Bruno Forzani et Hélène Cattet en 2009.
En 2014 elle fonde avec Estelle Franco, Francesco Italiano et Guillemette Laurent le collectif Colonel Astral avec qui elle créé en juin 2015 le spectacle Nasha Moskva d’après Les trois sœurs de Tchekhov au théâtre Océan Nord, à Bruxelles, spectacle repris au festival d’Avignon au théâtre des Doms en juillet 2016.
En 2017 elle joue dans Apocalypse Bébé, adaptation du roman de Virginie Despentes, mise en scène de Selma Alaoui au théâtre de Liège puis au Varia à Bruxelles.
Puis dans Les enfants du soleil de Gorki dans une mise en scène de Christophe Sermet au Rideau de Bruxelles. Elle obtient pour ces deux spectacle le prix de la critique 2017 pour la meilleure actrice.
En janvier 18 elle joue dans Les Fortunes de la viande de et par Martine Wijckaert au Théâtre de la Balsamine. En janvier 2019 elle joue dans Un tramway nommé Désir de Tenessee Willams, mise en scène de Salvatore Calcagno, créé au Théâtre de Liège, tournée dans les principales villes de Belgique, puis dans Bellissima, basé sur le film de Visconti au Théâtre Varia septembre 23. En janvier 22, elle joue Dressing Room, seul en scène écrit par François Emmanuel et mis en scène par Guillemette Laurent au théâtre Varia.
En février 22, elle crée avec le collectif le Colonel Astral Todos Caéran, très libre adaptation de Don Quichotte de Cervantes. En 2024 elle joue dans Therese Claus Phillip Maria de Martine Wijckaert créeà la Balsamine et repris en 2025 au Théâtre National Wallonie Bruxelles.
Jean-Gabriel Vidal-Vandroy
Jean-Gabriel Vidal-Vandroy est dramaturge, auteur et metteur en scène.
En parallèle de ses études à Sciences Po Paris, il débute son parcours de metteur en scène avec plusieurs spectacles, parmi lesquels Médée (2012), Hamlet-machine (2014) et Nos Corps Sauvages (2015). En 2016, il intègre l’Institut National Supérieur des Arts du Spectacle (INSAS, Bruxelles). Parallèlement à ses quatre années de formation à la mise en scène, il crée Boys Don’t Cry (2017), Jardiland, Paradis Perdu (2017), FACE A – L’art de la Fugue / FACE B – L’art de la Guerre (2018), Centralia (2018) et Une Matinée d’Amour Pur (2020).
Travaillant en Belgique et en France depuis sa sortie de l’INSAS en 2020, il participe à la création de Ce baiser soufflé sera pour toi (2022), de Chloé Larrère, avec qui il co-écrit, met en scène et interprète également le spectacle Heureusement qu’il y avait … (2023). Il collabore à la dramaturgie de Baal (2022) de Bertolt Brecht, mis en scène par Armel Roussel, et assiste Salvatore Calcagno à la mise en scène et à la dramaturgie de Bellissima (2023). En 2024, il joue dans Comme un poisson sans bicyclette, de Virginie Thirion. Il co-conçoit et écrit le spectacle La Litanie des Agonisantes, mis en scène par Solène Valentin. En 2025, il mettra en scène Pieds nus, d’Agnès Guignard.
Ayant travaillé de 2021 à 2023 comme dramaturge-rédacteur au sein du Théâtre Varia (Bruxelles), il a également collaboré avec Anne-Cécile Vandalem, Coline Struyf, Réhab Mehal, Quentin Chaveriat, Lionel Ueberschlag…
MAJ 16/09/24
Flavie Trichet Lespagnol
Flavie Trichet-Lespagnol est vidéaste et photographe diplômée de l’Ecole des Gobelins à Paris. Sa démarche artistique, qu’elle prenne la forme de narration documentaire ou de fiction, aborde la question de l’émancipation et de la mémoire, dans un univers oscillant entre rêve et introspection. Elle apporte une attention toute particulière aux détails afin d’assurer la cohérence et le symbolisme derrière chaque action créative. Depuis une vingtaine d’années, sa curiosité infinie de la nature humaine l’a amené à développer une forme de représentation psychologique des personnes qu’elle photographie.
En 2013, elle commence à utiliser le médium video à travers un projet intime intitulé Looking for Nostalgia, un voyage-recherche sur l’intemporalité du sentiment nostalgique. En 2017, elle réalise lors d’un voyage initiatique en Iran, un documentaire non-autorisé sur la jeunesse iranienne en captivité dans son propre pays. En 2018, elle produit Tristan et la magicienne, son premier court-métrage de fiction en tant que scénariste et réalisatrice, soit la légende Tristan et Iseult revisitée dans une version Queer. Elle collabore régulièrement avec Das Plateau en créant des objets photographiques et vidéos (Bois Impériaux, Comme à la maison, Poings, Le Petit Chaperon rouge).
MAJ 10/09/24
Sébastien Lefèvre
Formé à Lyon en 1992, Sébastien Lefèvre assiste différents éclairagistes et intervient en tant que régisseur pour plusieurs compagnies, dont Travaux 12 et la Cie Stanislas Nordey. Rapidement, il cherche à créer ses propres éclairages. Il conçoit pour la première fois les lumières des ballets de Maryse Delente avec la pièce Barbe bleue en 1999 au Ballet du Nord. Débute ainsi une longue collaboration, avec 16 créations réalisées.
Parallèlement, les rencontres se multiplient et il devient le créateur lumière de différentes compagnies de danse et de théâtre : Alessandro Sciarroni, Eric Minh Cuong Castaing, Yuval Pick, Sandrine Anglade ou Das Plateau. Il développe également un travail de création plus personnel en créant des installations, œuvres-lumières, en France et à l’international (Lyon, Poitiers, Leipzig, Göteborg, Genève, Lausanne, Moscou, Dubaï etc.)
Ses créations comme les «Eolights», « L’homme digital », « Oriflammes » et « Caprice » créées pour la fête des lumières de Lyon ont un caractère monumental et cherche à bousculer le paysage urbain. D’autres comme « illusion » dans la cathédrale de Poitiers ou la mise en lumière de l’église de « Trönlindring » modifient la perception de l’architecture qui accueille son travail.
MAJ 10/09/24
James Brandily
Très jeune, il travaille comme technicien pour le théâtre en France. Après un passage à NYC de deux ans, il débarque à Londres pour huit ans. Il trouve sa place au Gate Theater (Fringe theater) du quartier de Notting Hill, ce qui lui permet de rencontrer un grand nombre de metteurs en scène, et d’être confronté à différent univers (Tracy Letts, Nick Ward…). Il y rencontre Sarah Kane avec qui il travaille sur les deux créations qu’elle met en scène. Avec Stephen Harper, il scénographie Occam’razor, Break down et commence une réflexion sur Acte of malice. Il réalise un décor sur une installation pour Oily cart.
De retour en France, il travaille avec Kassen K pour qui il met en espace No Man No Chicken ainsi que Jet Lag. Il collabore sur une installation avec le collectif Arrière-Boutique.
Il travaille avec Ludovic Lagarde comme régisseur général sur Richard III, et il intervient comme collaborateur artistique à la scénographie sur le spectacle Un nid pour quoi faire. A la suite de sa rencontre avec Guillaume Vincent, il scénographie Le bouc, Preparadise sorry now, The second woman et La nuit tombe et l’opéra La bohème qui sera joué aux Bouffes du Nord. Il collabore avec Das Plateau depuis 2016 (Il faut beaucoup aimer les hommes, Bois Impériaux, Comme à la maison, Poings, Le Petit Chaperon rouge).
MAJ 10/09/24
Jérôme Tuncer
Après des études d’ingénieur à l’INSA de Lyon puis le cursus son de l’Ecole Nationale Supérieure Louis Lumière, Jérôme Tuncer se consacre à la création sonore, à la conception ainsi qu’à la programmation de dispositifs interactifs pour le spectacle vivant, la performance et l’installation.
Il enrichit sa maîtrise technique en participant à la vie de lieux tels que l’IRCAM, le GRM ou bien encore à la Gaîté Lyrique sur des projets de créations ou lors d’ateliers pédagogiques de sensibilisation à l’outil numérique de traitement du son et de l’image.
Il collabore avec de nombreux artistes du paysage contemporain auxquels il apporte une approche sensible des techniques sonores, visuelles et informatiques actuelles (collaborations : Jean-François Peyret, Ludovic Lagarde, Ensemble Multilatérale, Georges Aperghis, Sébastien Roux, Célia Houdart, Xavier Veilhan, Jacques André, Magali Desbazeille, Moritz von Oswald, Sylvain Prunenec, Lionel Hoche, compagnie Affari Esteri, Daniel Larrieu…).
MAJ 10/09/24
Élise Garraud
Née en 1978 à Lyon, Élise Garraud pratique le costume de scène et le tailleur. Pour le théâtre et la danse elle travaille notamment avec Alain Béhar, François Tizon, Sébastien Derrey, Sandra Iché, Vincent Weber, Jeanne Garraud, Renaud Golo, Bénédicte Le Lamer. Elle collabore régulièrement avec l’atelier tailleur de la Comédie-Française.
Ce travail pratique s’articule à un travail réflexif et théorique. Elle a co-fondé Revue Incise et prépare actuellement une thèse en arts ayant pour titre Du vêtement sur scène. Dans cette recherche il s’agit d’aborder le costume depuis le champ de l’esthétique, les paradoxes de son régime de visibilité et la façon dont il se rapporte au vêtement et en travaille la notion. Elle mène parallèlement une recherche pratique et théorique avec Wafa Abida intitulée Costume factuel, pour laquelle elle est lauréate de l’appel à projets Recherche théâtre et arts associés de la DGCA/Ministère de la Culture.
MAJ 27/09/24