Samedi 25 novembre à 20h

Deux meilleures amies, Lomane et Mélodie, décident de mettre un terme à leur colocation et par la même occasion, à leur amitié.

Au fil des pièces de l’appartement désert qu’elles traversent une dernière fois pour s’assurer de n’avoir rien oublié, elles replongent dans les souvenirs, elles rejouent les temps forts et les lieux communs de leur histoire.

Cet ultime état des lieux pour essayer de comprendre où l’amitié est tombée en pièces.

Après Drame Bourgeois, Murmures est le deuxième volet d’un triptyque avec et pour l’actrice Lomane de Dietrich. Ces textes visent à la construction d’un langage dans la déconstruction des rapports, comme une autopsie des ruptures sociales et intimes. Trois quêtes : l’amour, l’amitié, la famille.

MÉLODIE – Qu’est ce que tu veux que je te dise, c’est comme ça, la première personne du singulier est la chose qui m’émeut le plus au monde.
Je suis une ogresse
Je dévore les histoires
J’avale celles des autres
Toujours des histoires à raconter
J’essaye d’écrire la joie et l’amour parce que.
Parce qu’elles sont invisibles, seules les batailles restent en mémoire.

LOMANE – Tu n’écris que des conflits.

MÉLODIE – Alors c’est que j’échoue.

©Joseph Banderet
REMERCIEMENTS Louis Battistelli, Camille Bernon, Léna Bokobza-Brunet, David Clavel, Jeanne d’Antoine, Grégory Gabriel, Martin Kergourlay, Olenka Ilunga, Eva Lallier Juan, Claire Lasne-Darcueil, Anne Leprince-Ringuet, Grégoire Leprince-Ringuet, Claire-Lise Moreau, Clyde Yeguete
 

Texte et mise en voix Padrig Vion
Avec Mélodie Adda, Lomane de Dietrich
Collaboration artistique Lolita de Villers

Durée : 1h15
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival FOCUS #9

Requin velours

Mercredi 15 et jeudi 16 novembre à 20h

Un été, Roxane est victime d’un viol. Le soir même, elle rencontre Joy et Kenza, les « Loubardes », qui deviennent ses amies. Avec leur soutien, Roxane tente d’obtenir réparation par le récit, le rêve et la fiction. Elle devient ensuite travailleuse du sexe et, peu à peu, se transforme en requin et renverse la violence. C’est l’histoire d’une quête de réparation.

Ce n’est pas tant du viol comme acte qu’il est question que des récits intimes et politiques autour de celui-ci : les récits procéduraux, judiciaires, ceux cathartiques, libérateurs et ceux qui cherchent à comprendre, à donner du sens. C’est une histoire singulière et sensible, une mise à nu des paradoxes, des hontes, des émotions, des nuances et des dialogues intérieurs qui font suite à une agression. C’est un sujet grave et pourtant banal, abordé comme seules des personnes concernées pourraient le faire : avec le décalage qui permet le rire, avec la douceur qu’il faut pour parler de la violence. Avec la poésie nécessaire.

Requin Velours est un texte brut et onirique, qui parle du travail du sexe, de la réparation, mais aussi de sororité, d’amitié et d’amour lesbien. C’est une quête à trois voix, une performance physique, poétique et politique.

REVUE DE PRESSE

L’Oeil d’Olivier : « Gaëlle Axelbrun donne vie avec une belle énergie à sa prose et touche au cœur. Plein de belles promesses, Requin velours saisit par son écriture sincère, sa plume brute autant qu’imagée. »

 

CRÉATION 2024-25 au TAPS – Théâtre Actuel et Public de Strasbourg

©Christophe Raynaud de Lage
PRODUCTION compagnie Sorry Mom
SOUTIENS TAPS – Théâtre Actuel et Public de Strasbourg, Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines, Centre des bords de Marnes, La Pokop, Bliiida, DRAC Grand Est, Région Grand Est, Haute École des Arts du Rhin, collectif À mots découverts, la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon – CNES
Administration Alain Rauline
Remerciements Laurent Poitrenaux, Laurène Marx
Ce projet est soutenu par le dispositif Jeunes ESTivants de Scènes et Territoires de la DRAC Grand Est et par la bourse Expériences de Jeunesse de la Région Grand Est. Ce texte a bénéficié d’un accompagnement par le collectif À mots découverts (Paris). Texte lauréat des Voix du bivouac de la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, juillet 2023.

Texte et mise en espace Gaëlle Axelbrun
Avec Mécistée Rhea, Cécile Mourier, Amandine Grousson
Assistanat Florence Weber
Scénographie Gaëlle Axelbrun
Costumes, assistanat scénographie Camille Nozay
Lumière Ondine Trager
Création sonore Maïlys Trucat

Déconseillé aux moins de 16 ans
ATTENTION : Cette pièce traite de violences sexuelles

Durée : 1h30
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€

FOCUS #9

Du 15 au 30 novembre 2023

Cette nouvelle édition du festival Focus à Théâtre Ouvert vise à mettre en partage des écritures pour le théâtre, dans leur exigence et leur diversité, dressant une cartographie, incomplète et subjective, mais aussi ouverte et stimulante, une exploration de ce champ vaste et en mouvement que constitue l’écriture pour le plateau.

Les propositions réunies sur ce festival multiplient les angles, les formes et les approches de la dramaturgie contemporaine. Ouvrir, questionner les écritures pour le plateau, proposer aux spectateur·rices un voyage, une traversée, une écoute de la manière dont des artistes s’emparent de la langue pour appréhender le monde, tels sont les enjeux de ce rendez-vous, à la découverte des écritures d’aujourd’hui et demain.

TARIFS DU FESTIVAL
6€ | 4€ | GRATUIT avec la Carte TO (à l’achat 10 ou 20€)

INFOS ET RÉSERVATIONS
billetterie en ligne | 01 42 55 55 50 | resa@theatreouvert.com

Festival 8e Festival du Jamais Lu Paris

Ma génération dit m… à la tienne [ cabaret polémique ]

Dimanche 5 novembre à 18h30

Faut-il encore embrasser les grands-mères, tuer les pères, rester de son temps et marteler que la jeunesse a tort ? La sagesse de l’âge est-elle parfois utile à celleux d’après ?
Faut-il obligatoirement se comporter en héritier quand on nous confie un legs ?
Quels fantômes généalogiques nous tourmentent d’une descendance à une autre ?
À qui la faute si nous en sommes là ?
Scrutons-nous un instant dans nos secousses générationnelles.
Car il suffit parfois d’une branche ajoutée à l’arbre pour que toute la forêt se redessine.

Lors de ce cabaret transatlantique, nous examinerons ce qui constitue, mue, disloque ou réunit les différentes échelles du temps adulte, dans les mots de leurs dignes représentant·es. Il s’agira d’identifier où se tisse le commun à travers des portraits subjectifs, des procès de bonne foi, des utopies naissantes ou lasses, des envies ou pas d’un ensemble, d’un mieux partagé.

Chaque génération avancera ses arguments en paroles binômes proférées par des Québécois·es et des Français·es, histoire de percevoir si les embarras sont les mêmes, que les racines poussent sur le vieux ou le nouveau continent.

 

 

 

 

 

 

 

©Joseph Banderet
Durée : 1h45
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif Entrée libre
Tarif réduit Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs
Associations, groupesà partir de 6 personnes
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s)
Festival 8e Festival du Jamais Lu Paris

L’Idole (un jour j’épouserai Orelsan)

Dimanche 5 novembre à 16h

2025. Le monde est à bout de souffle. Crise climatique, économique, burnout généralisé. Corinne se pend dans son garage. C’est Paul, son voisin, qui la retrouve, mais c’est Marie qui s’en occupe, parce que Paul ne sait rien faire sans Marie (et pourtant il essaie).

La mère de Sofia a disparu sans laisser de traces. Sofia lui prépare un café tous les matins, et tous les matins elle se demande ce qui pourrait bien pousser une mère à quitter sa fille.

Corinne, Sofia, Marie et Paul sont perdu·es dans un monde qui court à sa perte. Iels sont fatigué·es. Éteint·es.

Quand Marie découvre sur Instagram que la mère de Sofia, grande fan d’Orelsan, s’est volatilisée presque par magie, elle en est alors persuadée : il y a un lien entre le rappeur préféré des françaises de presque 40 ans, la vague de suicides qui a fauché Corinne et la disparition quasi simultanée de milliers de femmes.

Il ne reste plus alors qu’à enrouler le fil pour en découvrir la source : l’Idole. Celle qu’on sacrifie quand il n’y a plus d’autre voie possible. Comme un dernier recours, un dernier souffle avant l’extinction de la flamme.

DR ROBERT. Une mère est parfois autre chose qu’une mère. Les femmes, les hommes partent. Ils l’ont toujours fait.
Ce n’est pas pour blesser, pas pour casser. Plutôt pour réparer.
SOFIA. Réparer quoi?
Ya plus rien à réparer dans ce monde pourri. C’est trop tard, tout est foutu!
Mais ce n’est pas une raison pour disparaître.
DR ROBERT. Ne soyez pas si négative.
 

 

 

 

 

 

©Joseph Banderet
Durée : 1h20
Petite Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Samedi 4 novembre à 20h

C’est l’histoire de Maddie, 19 ans, à qui un jour on a dit qu’elle était trop radicale.
C’était à la cafétéria du supermarché SUPERV où elle travaillait tout l’été.
C’est l’histoire du moment où on ne peut plus revenir en arrière.

Une jeune femme décide simplement de ne plus manger les gâteaux fourrés au chocolat d’une certaine marque. Une grande marque. Elle refuse, elle fait un choix. L’entreprise néglige ses employé.e.s, les patrons font des millions, les gâteaux sont de plus en plus chers, les gens qui les achètent ont de moins en moins d’argent, le déséquilibre est insensé.

C’est un début pour elle (peut-être, on ne sait pas).
Et son acte, pourtant minuscule, dérange (déjà).
Ce qui est un début pour Maddie semble extrême pour d’autres.

On est en droit de se demander si les réactions qu’elle reçoit ne sont pas aussi radicales ? Les prises de positions font-elles peur ? Sortir de la norme, du quotidien, de la bien-pensance, ça effraie ?

À ce moment-là Maddie a comme la tête qui tourne. Elle pourrait presque poser sa main sur la chaise qui est devant elle, pour sécuriser une chute imaginaire, mais rien. Pas de chute. Elle ne tombe pas, elle reste droite. Elle a peur de perdre ses mots, mais ils sont là, dans sa bouche, elle le sait.
Présentation du texte par l’auteur
Les autres vidéos de Raphaël Bocobza 
 

©Joseph Banderet
Durée : 1h10
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Samedi 4 novembre à 18h30

Dans Corpresqu’île, deux frères, Nicola et Joey, viennent se donner en spectacle et raconter leur histoire. De leur enfance chaotique, en passant par leur adolescence punk et jusqu’au présent où tout les éloigne; ils cherchent pourquoi cette relation fusionnelle a volé en éclat, et comment elle continue de les transformer. Le récit est scandé d’intermèdes musicaux juvéniles, profondément irrévérencieux, hantés par des spectres punk… Les affects sont libérés par le plateau et les passions tristes sublimées, pour donner sens à la perte, et faire mémoire avec joie.

En fait on était des enfants perdus. Comme dans Peter Pan. Des enfants seuls qui devaient faire la loi et devenir plus forts que les adultes. Alors on voulait faire tout comme les grands, on voulait écouter leur musique, dire leurs gros mots. On était des enfants-adultes. Et en devenant adultes on est devenus des enfants. Je sais pas si c’est très clair ?
Présentation du texte par l’auteur
 
 

 

 

 

©Joseph Banderet
Durée : 1h30
Petite Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival 8e Festival du Jamais Lu Paris

La nuit m’avale – Coup de coeur Montréal

Samedi 4 novembre à 16h

C’est l’été, on suffoque. La nuit mange le ciel à grosses bouchées.
Milly, Julie-Julien et Caro, trois adolescentes écorchées, tentent de vivre avec le sentiment de vide qui brûle dans leur ventre.
Milly vomit sa haine dans son journal intime et cherche des façons de mourir sans vouloir mourir.
Caro est enceinte et vend de la drogue pour acheter une nouvelle vie à son bébé.
Julie-Julien flâne dans les ruelles pour passer le temps et sympathise avec les chats perdus.
Elles sont toutes les trois traversées par le besoin urgent d’exister selon leurs propres conditions.

JULIE-JULIEN. La nuit m’appartient
MILLY. La nuit t’appartient
Je penserais pas moi
JULIE-JULIEN. Pourquoi ?
MILLY. C’est comme mettre du ketchup sur une pointe de gâteau au fromage
Ça va pas ensemble
Toi, t’es le ketchup insignifiant
Pis la nuit, elle, une belle pointe de gâteau au fromage sexy
C’est pas un match qui fonctionne
JULIE-JULIEN. C’est ça qu’on va voir
Présentation du texte par l’auteure
Les autres vidéos de Kathleen Laurin-McCarthy 
 
 

La nuit m’avale a été lu une première fois au Jamais Lu Montréal en mai 2023.
©Joseph Banderet
Durée : 1h30
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Vendredi 3 novembre à 20h30

Suzanne est professeure de musique au collège. Elle mène une vie paisible dans une maison située sur le bord d’une crique à l’eau exceptionnellement fraîche.
La vie de Suzanne est bouleversée le jour où la destruction de la crique est annoncée. Une centrale nucléaire sera construite. Dans la région, un mouvement de contestation s’organise contre le projet. Mouvement massif qui, d’abord pacifique, se radicalise progressivement.
La pièce raconte l’histoire de ce mouvement du point de vue de Suzanne qui, de paisible citoyenne, va se transformer en militante acharnée. En bout de course, Suzanne pressera la détente.

MAIRE. Une grande nouvelle attend la commune Suzanne.
Le·la Président·e vient.
SUZANNE. Le·la Président·e ?
MAIRE. Oui Suzanne. Le·la Président·e. Il·elle vient dans la Commune. Vient dans la crique.
SUZANNE. Qu’est-ce qu’il·elle vient faire dans la crique ?
MAIRE. Un discours sur l’environnement. Le Palais Présidentiel veut un beau décor. Bonnes nouvelles à la clé pour la Région, pour la Commune.
Le Palais a repéré votre maison. Votre maison surplombe la crique. Vous voyez cette fenêtre, là. C’est cette fenêtre que les Renseignements ont repérée. Très bon poste pour un tireur d’élite.
SUZANNE. Les Renseignements ont repéré ma fenêtre ?
Présentation du texte par son auteur
 
 

 

  

 

 

©Joseph Banderet
Durée : 1h50
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival 8e Festival du Jamais Lu Paris

L’atelier québécois – Au marqueur permanent

Vendredi 3 novembre à 19h

En 1990, à l’université Browns dans le Rhode Island, un groupe de jeunes femmes est surnommé par les médias locaux les Magic Markers Terrorists, puisqu’elles écrivent et tiennent à jour sur le mur d’une toilette pour femmes du campus une liste d’hommes ayant des comportements sexuels répréhensibles.

Au marqueur permanent s’inspire de cette affaire en la décalant dans un Québec autofictionnel des années 90. On y suit le destin de cinq personnages qui participent à un type de soulèvement semblable : de leur rencontre l’une avec l’autre, aux réprimandes de l’école, au combat pour que la liste reste active, jusqu’à la dissolution du groupe quelques mois plus tard.

En écho à trois vagues successives de dénonciations étrangement similaires jusqu’à #metoo, il est question ici, avec humour, délicatesse et joie, de l’épuisement féminin, et des traces qu’inlassablement l’histoire tente d’effacer. Une forme de main tendue vers cette autre génération de femmes qui a pavé la voie à de houleux combats, permettant malgré tout de mener de nouvelles batailles féministes.

J’ai gardé mes yeux plantés dans ceux de la fille en face de moi, le bras gauche replié sur moi, protégeant 3 bouteilles de 541 ml de jus de canneberges, pis dans ma main droite, un tout petit sac de papier plus blanc que les murs de la pharmacie, dans lequel les plus futés auront deviné qu’il y a 7 comprimés gros comme des torpilles : 7 jours d’antibiotiques pour guérir une vilaine infection urinaire. 7 torpilles avant d’arrêter de pisser du feu.
Présentation du texte par l’auteure 
 
Les autres vidéos de Carolanne Foucher
 

 

 

 

Carolanne Foucher bénéficie d’une résidence d’autrice aux Récollets organisée avec le soutien du Conseil des Arts et des Lettres du Québec
©Joseph Banderet

Texte Carolanne Foucher
Dramaturgie et mise en voix Sonia Ristic
avec les apprenti·es du Studio ESCA Aglaé Bondon, Jasmine Cano, Marie-Camille Le Baccon, Milla Nizard, Rose Noël

Durée : 1h40
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif Entrée libre
Tarif réduit Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs
Associations, groupesà partir de 6 personnes
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s)