Festival 9e Festival du Jamais Lu Paris

Parler meilleur : nouveaux lexiques du vivre-ensemble [cabaret politique]

Dimanche 27 octobre à 18h30

À nouvelle époque, nouveaux vocables.
La rue, les réseaux et les dicos du Québec comme de la France font régulièrement entrer dans l’usage des mots qui scellent des réalités mouvantes, ou jusqu’alors insaisissables.
Mais qu’en est-il de l’écriture et de celleux qui la font? Est-ce que des mots nouveaux déclenchent des gestes indus? Comment l’inspiration s’accorde-t-elle à l’air de son temps?
Quel quartz de sens offrir à ces syllabes à peine imbriquées?
C’est ce que nous tâcherons de vérifier ici.

Chaque auteurice s’est vu confier un phonème dont l’usage était plus ou moins inconnu il y a peu de temps. Ielles auront la tâche de les faire se déployer, en volages libellules ou en étendards.

Pour les accompagner en chansons : les mots torpilles de Sohan Pague.

Durée :
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Dimanche 27 octobre à 16h

À Saint-Claude dans le Jura, Eva continue son chemin sur la RN 470, alors qu’elle ne cesse de ressasser le chagrin – une perte qu’elle et son compagnon Viktor ont vécue le jour où un feu de forêt a frappé la région.

À Mirebalais en Haïti, Elea et son mari Jean entament un trajet hasardeux sur la N3 vers la maternité de Port-au-Prince ceinturée par les bandits, défiant les balles perdues.

Deux routes nationales, deux femmes d’ici et d’ailleurs, deux destins parallèles se rejoignent dans un même paysage, celui de naissances en feu.

Je cale mes respirations sur mon ventre
Mes yeux sur quelque chose qui m’attend plus loin
Un peu plus loin au-delà de ce virage noir
Parce que c’est ça qu’il faut pour ne pas s’arrêter
Quand le présent se dérobe sous nos pieds

Texte Shiho Kasahara
Mise en voix Philippe Racine
Avec la troupe du Jamais Lu 2024

Durée :
Petite Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival 9e Festival du Jamais Lu Paris

Pour Maëlle – Coup de coeur Montréal

Samedi 26 octobre à 20h30

À la sortie des bars sur l’avenue Saint-Laurent à Montréal, Ali, un jeune homme issu dʼun milieu modeste, tombe instantanément amoureux de Maëlle, une jeune intellectuelle artsy qui vient dʼun milieu aisé. En essayant de naviguer à travers les codes sociaux des évènements culturels tendances et des buvettes branchées, Ali découvre un monde totalement différent du sien : un monde où lʼart et la passion sont roi et reine, et où il nʼest jamais question dʼargent. À ses yeux, il doit absolument intégrer cet univers idyllique. Mais est-ce à la portée de tous ?

Le chow mein 2$, c’est un sac surprise bro.
Y’a autant les filles high class du Buonanotte qui arrivent en Mercedes, robe noire et bijoux, que les filles du Bar Bifteck avec les piercings et les cheveux bleus. Là-bas y’a pas de VIP, y’a pas de guestlist, tout le monde bouffe le même fucking chow mein.

Pour Maëlle a été lu une première fois au Jamais Lu Montréal en mai 2024

Texte Ahmad Hamdan
Mise en voix Gabriel Tur
Avec la troupe du Jamais Lu 2024

Durée :
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Samedi 26 octobre à 18h30

Anne-Lise revient à l’endroit où Anne-Gaëlle l’attend. La nuit, Anne-Gaëlle, grand-mère d’Anne-Lise, veille sur les nuits de la petite Anne-Lise. La grande Anne-Lise vient aujourd’hui veiller la dernière nuit d’Anne-Gaëlle. Chemin onirique sur les traces des souvenirs de l’enfance qui les ont séparées. Interrogation sur l’amour des grands-parents pour leurs petits-enfants.  

PETIT-PAYS. Il est 17h58.
JACQUES. La voiture file à vive allure.
PETIT-PAYS. Sur le chemin, il y a
des temples tamouls, des églises, des synagogues, des mosquées, des maisons funéraires, des petites boutiques, des petits snacks et beaucoup de ronds-points,
LINDA. Ils se suivent et se ressemblent sur des kilomètres.
ANNE-LISE. On tourne en rond.
PETIT-PAYS. Il y a
des silences, comblés par la radio :
JACQUES. Joe le taxi
C’est sa vie
Le rhum au mambo
Embouteillage
Il est comme ça
Rhum et mambo
TOUT LE MONDE. Joe, Joe, Joe
(…)
PETIT-PAYS. Il y a
une odeur dans l’air,
ANNE-LISE. Quelque chose que tu connais mais que tu as oublié.

Texte Samantha Pardon
Mise en voix Johanne Haberlin
Avec la troupe du Jamais Lu 2024

Durée :
Petite Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival 9e Festival du Jamais Lu Paris

Les choses qui n’ont pas de nom

Samedi 26 octobre à 16h

Les choses qui n’ont pas de nom est l’histoire d’un groupe de jeunes personnes assignées femmes, qu’on rencontre à la fin de l’adolescence et qu’on suit jusqu’à la fin de la vingtaine.

Louise, celle qui raconte l’histoire, tombe amoureuse d’une autre femme et développe une honte l’empêchant d’en prononcer un mot. Mais elle n’est pas la seule à vivre ce rejet de ses propres désirs. Les trajectoires de Sabah, Eva, Rachel, Adélaïde, Amira s’entremêlent, amicalement ou amoureusement, se croisent et se séparent, toutes marquées par la honte. De celle-ci, elles recherchent les causes dans l’époque, dans les discours sociaux qui les ont environnées. Récit initiatique d’entrée dans l’âge adulte d’un groupe de jeunes personnes, où l’amitié prend une place prépondérante, ce texte questionne la possibilité de la prise de parole après un silence asphyxiant.

C’est une histoire de premier amour classique, tes doigts sur mes hanches et mes doigts dans tes cheveux, Je n’ai jamais rencontré quelqu’un comme toi et tout le bazar, mais la particularité c’est l’ignorance, l’ignorance de mon désir et l’ignorance du tien, et ma honte et ta honte qui ont empêché, qui ont tout empêché, ne nous ont laissé que quelques nuits de coïncidence d’amour.

Les choses qui n’ont pas de nom a bénéficié du soutien de la Chartreuse – Centre national des écritures du spectacle et de la compagnie En Actes.

Texte Leïla Cassar
Mise en voix Olivier Arteau
Avec la troupe du Jamais Lu 2024

Durée :
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Vendredi 25 octobre à 20h30

Sacha est une jeune cheffe parisienne dans un restaurant en plein essor, et sa vie correspond à la définition moderne d’une réussite parfaite : elle allie accomplissement professionnel et bonheur personnel. Sa famille la soutient, sa petite amie l’a demandée en mariage, elle a un groupe d’ami·e·s solide… et elle est en finale de Survivor Chef, le prestigieux concours télévisé de cuisine.

Pourtant, Sacha rêve chaque nuit que son restaurant crame, et peut-être même que c’est elle qui fait craquer l’allumette.

Il suffit d’une allumette. Je m’accroche à elle, c’est la dernière du paquet. Elle glisse. Ma sueur a imbibé la boîte. L’humidité de mon angoisse pourra peut-être empêcher la chimie. La chimie de la poudre de verre, du phosphore, du chlorate, empêchée par l’humidité de mon angoisse.

 

Texte Morgan·e Janoir
Mise en voix Michel-Maxime Legault
Avec la troupe du Jamais Lu 2024

Durée :
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€
Festival 9e Festival du Jamais Lu Paris

L’atelier québécois – Juste des bonhommes qui bougent

Vendredi 25 octobre à 19h

Quelque part, une personne pleure parce qu’elle aurait préféré vivre en Nouvelle-France, une autre offre un spectacle de violon à des oiseaux et une troisième contemple la banderole «Bonne retraite de ta dépression» que ses amis lui ont confectionnée pour leur soirée festive.
Quelque part, les choses ont du sens
Puis elles n’en n’ont plus
Certaines sont des coïncidences
Certaines, des chronologies parallèles puisque «toute est dans toute»
Quelque part, l’Univers est confus de voir autant d’humains désorientés
à force de chercher signes, repères et sentiments d’accomplissement dans les éléments les plus incongrus
Et partout, plus personne ne comprend quoique ce soit
… Êtes-vous encore avec moi ?

Juste des bonhommes qui bougent est un spectacle à tableaux. C’est aussi un spectacle où tout est lié. Probablement. En tout cas, c’est assurément un parti pris comme quoi l’absurde est une merveilleuse balise au milieu de nos angoisses autant personnelles qu’existentielles.

 

UNE ÉTUDIANTE
Va falloir que je prenne une pause
C’est tu possible ?
Un p’tit verre d’eau, une banane, une granola, quelque chose comme ça ?
C’est que
Je sais pus je suis qui
On dirait que soudainement y’a eu tellement d’options que
ben
je sais pas
j’me suis vue
j’me suis déçue
j’me suis perdue
Mon propre veni vidi vici, quoi!

 

Camille Giguère-Côté bénéficie d’une résidence d’autrice au Centre les Récollets à Paris organisée avec le soutien du Conseil des Arts et des Lettres du Québec

Texte Camille Giguère-Côté
Mise en voix Pauline Haudepin
Avec les apprenti·es du Studio ESCA Gaspard Gévin-Hié, Jeanne Guinebretière, Ilyes Hammadi Chassin, Maïa Laiter, Victor Lalmanach, Léa Constance Piette

Durée :
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 6€ Entrée libre
Tarif réduit 4€ Entrée libre
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 4€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 4€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 4€

FOCUS #10

Du 4 au 23 novembre 2024

Nouvelle édition du festival FOCUS à Théâtre Ouvert ! 
Au programme notamment : 

Mains glacées
Texte et mise en voix Max Unbekandt

GIVRÉ.ES
Texte et mise en voix Charline Curtelin

La vie sur Terre est le résultat d’un jeu télévisé intergalactique qui aurait raté
Texte et mise en voix Jérémie Fabre

L’Odeur des tissus
Texte Lydie Tamisier
Mise en voix Marion Duphil

Veiller sur le sommeil des villes
Texte et mise en voix Louis Albertosi

Alann & Valentin (deux portraits)
Texte Pauline Peyrade (Valentin)
Texte Marcos Caramés Blanco (Alann)
Mises en scène Rémy Barché

Les Poules à chair
Texte Sylvain Septours (à paraître aux éditions TAPUSCRIT | Théâtre Ouvert en septembre)

Programme détaillé à paraître en octobre.

Avec le soutien de la Région Île-de-France

Participant·es

Les auteur·ices 
Louis Albertosi, Marcos Caramés Blanco, Charline Curtelin, Joey El Maleh, Jérémie Fabre, Steve Gagnon, Pauline Peyrade, Sylvain Septours, Lydie Tamisier, Max Unbekandt

Les metteur·ses en scène
Louis Albertosi, Rémy Barché, Charline Curtelin, Marion Duphil, Jérémie Fabre, Steve Gagnon, Max Unbekandt, Jean-Gabriel Vidal

Théâtre et amitié (triptyque)

Du 13 au 22 mars

Trois pièces pour approcher l’expérience d’un théâtre de paix. Trois propositions pour interroger le présent partagé du théâtre, son trouble fondamental, comme une invitation à l’étonnement et à la jubilation du jeu. Et où grâce à la confiance et l’humour, l’expérience de l’incertitude ne conduirait pas à une frustration mais au contraire, à une libération du regard et du mouvement.

Je pars deux fois
Éd. Théâtre Ouvert | TAPUSCRIT

Paul et Pauline remarquent que quelque chose a changé dans la situation. Mais quoi, on ne sait pas. C’est peut-être le chien, l’ami européen qu’ils partent chercher, le bateau qu’il faut prendre, un son ou une séparation. Il faudrait en tout cas réagir dans un endroit précis pour que ce soit bien clair. On mène avec eux une enquête sur la situation et on relève les indices, les traces d’une histoire. C’est un peu comme si nous traversions en résumé toute la vie d’un couple, mais la chronologie de l’histoire est bouleversée et le récit recomposé depuis une perception troublée, un désordre amoureux. La fin semble coexister avec le début. Paul et Pauline se rencontrent, se séparent, ou se retrouvent un peu tout en même temps. Des obstacles surgissent d’on ne sait où et il faut rebondir, apprendre à jouer, car il s’agit malgré tout de parvenir à se débrouiller et à avancer vers l’inconnu et l’ouverture à une nouvelle rencontre.

Théâtre et amitié
Éd. Théâtre Ouvert I TAPUSCRIT

Cette pièce est écrite pour deux acteurs et une foule. Dans cette pièce, où se rejoindront tous les acteurs, la superposition des temps et des lieux est poussée à son comble. Le résultat est une désorientation continuelle qui surprend les personnages qui pourtant essaient de tenir le fil de la parole. Paul pense qu’il y a un problème, Pierre pense qu’il n’y a aucune raison de penser qu’il y a un problème. Parfois une foule apparaît de manière complètement inopinée et envahit tout l’espace avant de disparaître, pareille à un nuage qui les enveloppe ou les efface. L’effet produit sur les événements et sur les présences est celui d’une incertitude grandissante. Pourtant la pièce évolue vers la reconnaissance d’une disparition du problème, notamment à travers l’apparition et l’acceptation d’une multiplicité. Plus on avance et plus Paul et Pierre semblent se perdre ou se disséminer dans la foule. Ils se mélangent, se multiplient et se repeuplent en s’égaillant dans un mouvement nouveau.

La Table planétaire

Pierre et Wen déballent d’un carton une table en kit et entreprennent de la monter. Pierre est embêté par un problème. Grâce à la sagesse de Wen et à l’arrivée inattendue de quelqu’un qui vient d’ailleurs, Pierre arrivera progressivement à retrouver la juste dimension des choses, et la table sera montée. L’arrivée du troisième personnage provoque un bouleversement dans la perception. Un vertige où ce qui est tenté collectivement est la compréhension d’une nouvelle manière sensible de se resituer dans le monde, en sentant que tout, même le très loin, est relié « de proche en proche » à notre ici et maintenant. C’est une nouvelle sensation de la consistance des choses, une pensée et une émotion dont nous sommes invités à faire ensemble l’expérience

TOURNÉE

CRÉATION le 21 janvier 25 à l’Olympia – CDN de Tours
29 et 30 avril 2025 – Comédie de Bethune 

COPRODUCTION (en cours) migratori K merado ; Comédie de Bethune Théâtre et Centre Dramatique National ; L’Olympia, CDN de Tours ; Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines

Textes Nicolas Doutey
Mise en scène Sébastien Derrey, en collaboration avec Vincent Weber pour le 2e volet du projet
Avec Rodolphe Congé, Vincent Guédon, Catherine Jabot, Nathalie Pivain, Olga Grumberg, Frédéric Gustaëdt
Scénographie Rémi Godfroy
Lumières Anne VaglioRémi Godfroy
Son Isabelle Surel
Costumes Elise Garraud
Accessoires Olivier Brichet

 

À partir de 15 ans

LUN, MAR, MER À 19H30
JEU, VEN À 20H30
SAM À 18H
Relâche exceptionnelle jeudi 20 mars

Durée : 2h
Grande Salle
Carte TO
Plein tarif 20€ 14€
Tarif réduit 14€ 10€
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs 8€
Associations, groupesà partir de 6 personnes 8€
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) 12€

À PIEDS JOINTS – Du texte à la scène

Vendredi 30 août à 19h et 21h, samedi 31 août à 17h et 19h

CHANTIER DES AUTEUR·ICES

2 dramaturges, 4 auteur·ices, 6 comédien·nes, 4 textes inédits mis en voix

Cette année, le chantier s’inscrit dans la longue et belle tradition de Théâtre Ouvert : accompagner des auteur.ices en début de parcours, depuis l’écriture jusqu’à la scène.

Il est ici question d’inviter pendant neuf jours une petite communauté toute entière engagée dans le développement de quatre textes inédits. Tous.tes ensemble, quatre auteur.ices, entouré.es de deux dramaturges, Amélie Enon et Raphaël Gautier, font évoluer leurs textes, rejoint.es par six comédien.nes talentueux.ses et passionné.es par les écritures d’aujourd’hui.

Forever 17 d’Ilonah Fagotin
Vendredi 30 août – 19h

Un jeune homme fait une marche le long d’un fleuve, le soir de son anniversaire. Il n’est pas seul. Des fantômes l’accompagnent. Qui sont-ils ? Où vont-ils ? Et pourquoi ?

Avec Hinda Abdelaoui, Yassim Ait Abdelmalek, Esther Armengol, Antoine Chicaud, Maxime Crescini, Chloé Monteiro
Durée : 1h


Gosses du béton
de Thibaut Galis
Vendredi 30 août – 21h

Une nuit, le destin de Paolo bascule. Il rencontre Olga et Nathan dans la chaleur d’un club. Pendant plusieurs mois, iels l’initient à ce qu’il n’a jamais connu : la fête, la drogue, le travail du sexe. Et même l’amour. Et pourtant, la brûlure du béton subsiste pour chacun des trois. Que faire quand on appartient à cette génération désenchantée ? 

Avec Yassim Ait Abdelmalek, Esther Armengol, Antoine Chicaud, Maxime Crescini, Chloé Monteiro
Durée : 1h05


Tueurs de chiens
d’Inès Tahar
Samedi 31 août – 17h

En hiver, dans une campagne perdue du Sud-ouest.
Dans les marges, quatre ami.e.s traversent leur adolescence en scooter,
à force de tise et de shit.
Quand une voiture arrive, plein phare. C’est Lui.

Avec Hinda Abdelaoui, Yassim Ait Abdelmalek, Antoine Chicaud, Maxime Crescini, Thibaut Galis, Chloé Monteiro
Durée : 1h30


Mal entremêlé Ou Des cases perdues
d’Orama Nivet
Samedi 31 août – 19h

Qu’est-ce qui échappe? Qu’est-ce qui nous échappe?
Quelque part à Paris, il y a un lieu, plutôt un endroit, où les langages meuvent de regard en regard jusqu’aux poings, de débordements de mots. 
Fanfan hésite, Nana sourit, La Stagiaire se tend, et La Mère s’étonne..

Et le silence aide, à contempler des voix ou rêver de nouveau.

Avec Hinda Abdelaoui, Yassim Ait Abdelmalek, Antoine Chicaud, Maxime Crescini, Ilonah Fagotin, Thibaut Galis, Chloé Monteiro, Inès Tahar
Durée : 1h10

Le chantier se déroule en trois temps :

  1. À partir d’une première version de leur texte fraichement écrit, les auteur.ices œuvrent, ensemble et avec les deux dramaturges, à l’épanouissement des enjeux de leur dramaturgie.
  2. Les comédien.nes se saisissent des textes, permettant aux auteur.ices de poursuivre, en aller-retour avec le plateau, le travail ainsi engagé.
  3. La littérature théâtrale ayant un besoin vital d’être confrontée à l’espace et au temps du plateau ainsi qu’à l’écoute des spectateur.ices, le chantier se conclut par des mises en lecture des 4 textes, ouvertes à tous.tes.
Entrée libre sur réservation