Type de spectacle : Spectacle / CRÉATION 2024
Requin Velours
Un été, Roxane est victime d’un viol. Le soir même, elle rencontre Joy et Kenza, les « Loubardes », qui deviennent ses amies. Avec leur soutien, Roxane tente d’obtenir réparation par le récit, le rêve et la fiction. Elle devient ensuite travailleuse du sexe et, peu à peu, se transforme en requin et renverse la violence. C’est l’histoire d’une quête de réparation.
Ce n’est pas tant du viol comme acte qu’il est question que des récits intimes et politiques autour de celui-ci : les récits procéduraux, judiciaires, ceux cathartiques, libérateurs et ceux qui cherchent à comprendre, à donner du sens. C’est une histoire singulière et sensible, une mise à nu des paradoxes, des hontes, des émotions, des nuances et des dialogues intérieurs qui font suite à une agression. C’est un sujet grave et pourtant banal, abordé comme seules des personnes concernées pourraient le faire : avec le décalage qui permet le rire, avec la douceur qu’il faut pour parler de la violence. Avec la poésie nécessaire.
Requin Velours est un texte brut et onirique, qui parle du travail du sexe, de la réparation, mais aussi de sororité, d’amitié et d’amour. C’est une quête à trois voix, une performance physique, poétique et politique.
EXTRAIT
KENZA
Son corps a brillé sous l’eau sombre. Elle s’est laissée glisser, a tracé droit devant elle, vers le fond, les bouées qui flottaient au- dessus de l’immense. Personne pouvait savoir que cette après- midi-là, avant cette soirée-là, elle avait perdu quelque chose. Pas sa virginité, nan, c’était beaucoup moins joli que ça. Pas sa dignité non plus.
ROXANE
J’ai couru vers le vide et je m’y suis baignée.
Photos de la mise en espace dans le cadre du festival FOCUS#9 les 15 et 16 novembre 2023
©Christophe Raynaud de Lage
« La question de la réparation est pour moi centrale dans Requin Velours.
Dans les œuvres comme dans le langage courant, on trouve souvent les termes : « salie », « souillée », « meurtrie », « brisée », à propos d’une victime de viol. On imagine qu’il y a toujours quelque chose après : une purification symbolique, un deuil à faire, un travail de ré-appropriation de son corps, une vengeance…
Cette imaginaire m’interroge : qu’y-a-t-il, précisément, à « réparer » ? Et par quel moyen ? La réparation est-elle même possible ?
Avec ce texte, je cherche à explorer trois facettes de cette question : le besoin de justice, de vengeance et de consolation.
Puisque la justice échoue à la réparer, Roxane cherche sa propre revanche dans le réel, en devenant travailleuse du sexe, mais aussi dans les fiction qu’elle se crées, dans le rêve et le fantasme. […]
Le requin est souvent présenté comme un « prédateur parfait », mais aussi comme un « animal incompris ». Aussi, il existe énormément d’espèces de requin, notamment un, dont le nom m’a marquée : le requin soyeux. On l’appelle ainsi parce que sa peau est lisse, douce et qu’à la lumière, elle présente des reflets semblables à de la soie. J’ai eu envie de m’inspirer de cette idée de prédateur·ice incompris·e et de requin à la peau douce pour écrire la pièce.Roxane, pour ne plus être la proie, se transforme elle-même en « requin » en devenant travailleuse du sexe (le requin étant aussi une expression pour « homme d’affaires impitoyable »). Dans sa robe de velours, elle opère une traversée entre la douceur et la violence et, peu à peu, se métamorphose. » – Gaëlle Axelbrun
LE SPECTACLE PRÉSENTÉ PAR SON AUTRICE
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REVUE DE PRESSE
Détectives sauvages : « Ce chaos réflexif du sujet est particulièrement bien sismographié par l’écriture discursive et sensorielle de Gaëlle Axelbrun, qui semble autant affirmer et regorger d’aphorismes épiphaniques que procéder par purs tâtonnements, par incessantes retouches et soubresauts obscurs. […] La création du texte par l’autrice à Théâtre Ouvert en février prochain révèlera toute la théâtralité de cette écriture épique et dramatique dont le potentiel performatif palpite dès la lecture. »
L’Oeil d’Olivier : « Gaëlle Axelbrun donne vie avec une belle énergie à sa prose et touche au cœur. Plein de belles promesses, Requin velours saisit par son écriture sincère, sa plume brute autant qu’imagée. »
Sceneweb : « Gaëlle Axelbrun répare son héroïne sur un ring de boxe. Coachée par deux loubardes impudentes et aguicheuses, elle frappe les esprits, triomphe des sentiments contradictoires et s’habille de velours pour enfin devenir requin. »
Dernières Nouvelles d’Alsace : « Entre dialogues, fulgurances poétiques, moments dansés, l’écriture se compose tel un puzzle »
Strasbourg Mag : « Requin Velours est à la fois une histoire d’amour, d’amitié et de sororité. Malgré la dureté du sujet, la poésie n’en est pas absente. La tendresse non plus« .
Poly Magazine : « Dans Requin Velours, sa nouvelle création, Gaëlle Axelbrun aborde un sujet délicat : le viol, et le cheminement de reconstruction de la victime. »
CRÉATION le 8 octobre 2024 au TAPS Laiterie, Strasbourg
Photos ©Christophe Raynaud de Lage
Teaser vidéo ©Hilmi Ossor
COPRODUCTION Théâtre Actuel et Public de Strasbourg, Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines, Compagnie Sorry Mom
SOUTIEN DRAC Grand Est, Région Grand Est, Ville de Strasbourg, Haute école des arts du Rhin, Collectif À mots découverts, La Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon
SOUTIEN EN RÉSIDENCE La Pokop – Strasbourg ; Bliiida – Metz ; Le Diapason – Vendenheim
ADMINISTRATION, PRODUCTION, DIFFUSION Alain Rauline
Texte publié aux Éditions Théâtrales, septembre 2024
Lauréat de l’aide à la création Artcena, catégorie Encouragements, printemps 2024
Lauréat des Voix du Bivouac, La Chartreuse Villeneuve lez Avignon, 2023
Texte et mise en scène Gaëlle Axelbrun (Éditions Théâtrales)
Avec Mécistée Rhea, Cécile Mourier, Amandine Grousson
et la participation de Gaëlle Axelbrun
Assistanat à la mise en scène Florence Weber
Scénographie Gaëlle Axelbrun
Création lumière Ondine Trager
Création sonore Maïlys Trucat
Costumes, assistanat scénographie Camille Nozay
Conseil à la chorégraphie Dionaea Thérèse, Gaëlle Axelbrun
Design graphique Anne-Sophie Rami
Déconseillé aux moins de 16 ans
ATTENTION : Cette pièce traite de violences sexuelles
LUN, MAR, MER À 19H30
JEU, VEN À 20H30
SAM À 18H
Du fait de la scénographie et pour des raisons de sécurité, nous n’avons pas la possibilité d’accueillir les personnes à mobilité réduite pour ce spectacle.
Carte TO | ||
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Plein tarif | 20€ | 14€ |
Tarif réduit | 14€ | 10€ |
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 8€ | |
Associations, groupesà partir de 6 personnes | 8€ | |
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 12€ |
Nous étions la forêt
Le quotidien des habitant.es du bois de la Fermette se trouve bouleversé lorsque les services de la mairie annoncent vouloir y implanter un parc photovoltaïque. La Forêt devient alors tour à tour un terrain de dissensions et d’émulations hautement politiques, un catalyseur des crises qui secouent le corps social contemporain, le symbole mythologique d’un refuge fragile, durablement menacé par l’urgence climatique.
Par la puissance percussive de la langue proférée d’Agathe Charnet, l’incursion de chansons issues du répertoire lyrique ou populaire ainsi que de compositions originales, la fiction documentée se fait progressivement fable contemporaine opératique, chant d’amour et d’adieu, cri de résistance d’une génération de jeunes adultes face à la mémoire d’un monde en voie d’extinction.
Portée avec fougue et humour par six comédien.nes chanteur.ses, cette fresque musicale part à la rencontre du vivant qui peuple nos écosystèmes pour tenter de capter « une dignité du présent ».
« La forêt est le chemin privilégié pour changer de relation au vivant face à la crise écologique. Elle est le milieu qui nous rappelle la condition souvent oubliée de notre être au monde » – Baptiste Morizot cité dans le Hors-Série, Philosophie Magazine, Penser comme un arbre, juin 2022
La représentation du 18 janvier sera proposée en audio-description.
Elle sera également suivie d’une rencontre avec Agathe Charnet et l’éco-philosophe Corine Pelluchon, autrice notamment de L’espérance, ou la traversée de l’impossible.
TOURNÉE
Forme en salle
CRÉATION les 5, 6 et 7 juin 2024 au Théâtre Sorano, scène conventionnée
Du 13 au 25 janvier– Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines, Paris
28 janvier – Théâtre de Rungis
1er février – Halle Ô Grains de Bayeux
4 et 5 février– Le Préau, CDN de Vire
25 février – Le Volcan, Scène Nationale du Havre
27 et 28 février– La Foudre, CDN de Normandie-Rouen
1er avril– Le Salmanazar – Scène de Création et diffusion d’Epernay
3 avril – Théâtre de la Tête Noire, Saran en partenariat avec le Centre Dramatique National Orléans / Centre-Val de Loire
3 et 4 mai– Le Tangram, Scène Nationale d’Evreux
Hors les murs
7 juin– La Manekine, Pont-Sainte-Maxence
REVUE DE PRESSE
La Terrasse : « Nous étions la forêt est un grand cri pour le vivant rempli d’espoir et de fougue. » – Agathe Charnet
Musical Avenue : « Ce spectacle a la force de ses mots, intelligents, justes et drôles, autant dans les dialogues que les chansons. Il parvient à toucher le spectateur en plein cœur »
©Virginie Meigné et Dylan Piaser
PRODUCTION Compagnie La Vie Grande (Le Havre)
COPRODUCTION Réseau des Producteurs Associés de Normandie (PAN) : La Comédie de Caen CDN de Normandie, Le Centre Dramatique National de Normandie Rouen, Le Préau CDN de Normandie-Vire, Le Volcan Scène nationale du Havre, le Tangram, Scène Nationale d’Evreux-Louviers, DSN Dieppe Scène Nationale, Scène Nationale 61, Théâtre Ouvert centre national des dramaturgies contemporaines, Théâtre Sorano, scène conventionnée Art et Création, La Halle ô Grains – ville de Bayeux, MAIF SOCIAL Club, Scènes et Territoires (Grand Est), Scène de Recherche de l’ENS Saclay, La Manekine – Scène intermédiaire des Hauts-de-France, Communauté de Communes des Pays d’Oise et d’Halatte, Théâtre de Rungis, département de l’Essonne
SOUTIENS DGCA – ministère de la culture, DRAC Normandie, Région Normandie, Département Seine Maritime, La Comédie de Caen CDN de Normandie, Dispositif d’insertion professionnelle de l’ENSATT, Festival des Langues Françaises (CDN Rouen), L’Etincelle (Rouen), Ville du Havre, Ville de Grand Quevilly, Théâtre du Château de la ville d’Eu, scène convenionnée d’intérêt national – Art en territoire
RÉSIDENCES D’ÉCRITURE ET RÉCOLTES DE PAROLES Bourse « Partir en Ecriture », Théâtre de la Tête Noire, Scène Conventionnée pour les Ecritures Contemporaines (Saran, Centre), Théâtre du Château d’Eu (Eu, Normandie), « Résidence Jeunes Estivants », Scènes et Territoire (Lunéville, Grand-Est), La Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon Centre National pour les Ecritures de la Scène (CNES).
Projet lauréat du dispositif de compagnonnage du Théâtre Gérard Philipe, CDN de Saint-Denis. Une maquette a été présentée dans le cadre du festival FRAGMENTS #11 – (La Loge).
La Compagnie La Vie Grande est conventionnée par le Ministère de la Culture (DRAC Normandie). Ce texte est lauréat de la Bourse Découverte du Centre National du Livre (CNL) 2023 et est édité chez l’Oeil du Prince.
Administratrice Laëtitia Fabaron
Chargée de production Mathilde Guegen
Chargée de diffusion Anne-Sophie Boulan
Texte, dramaturgie et mise en scène Agathe Charnet (éd. L’Œil du Prince)
Avec Léonard Bourgeois-Tacquet, Hélène Francisci, Maxime Gleizes, Virgile L. Leclerc, Catherine Otayek, Lillah Vial
Scénographie Anouk Maugein, Clément Rosenberg
Création sonore Karine Dumont
Ecriture et composition des chansons originales Karine Dumont, Agathe Charnet
Création lumière Mathilde Domarle
Création costumes Suzanne Devaux
Régie générale Roméo Rebière
Régie son Déborah Dupont en alternance avec Karine Dumont
Régie lumière Mathilde Domarle en alternance avec Marco Hollinger
Collaboration artistique et dramaturgie Anna Colléoc
Collaboration artistique et chorégraphie Cécile Zanibelli
Collaboration artistique et chant Jeanne-Sarah Deledicq
Confection décor Max Denis
Construction décor ateliers de la Comédie de Caen CDN de Normandie
À partir de 12 ans
LUN, MAR, MER À 19H30
JEU, VEN À 20H30
SAM À 18H
Représentation en audio-description le 18 janvier
Carte TO | ||
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Plein tarif | 20€ | 14€ |
Tarif réduit | 14€ | 10€ |
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 8€ | |
Associations, groupesà partir de 6 personnes | 8€ | |
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 12€ |
Le Temps des fins
Plus qu’une histoire de forêt menacée de destruction, Le Temps des fins de Guillaume Cayet est une véritable fable écologique et poétique: chasseur mystique ou militant·es idéalistes, tou·tes sont lié·es intimement à ce lieu.
Un seul lieu, une multitude de destins: une forêt va être rasée pour construire, à la place, un lac censé alimenter une centrale nucléaire. Sur scène se succèdent un chasseur, des zadistes, une famille, tou·tes lié·es de différente manière à ce territoire. Le temps des fins s’interroge, en trois parties, au devenir de notre société contemporaine dans un monde voué au changement s’il ne veut pas « s’effondrer ». Une saga environnementale, où il est question de la fin d’un monde et du début d’un autre et où l’engagement politique se fait écologique.
Avec la forêt de Bure en tête, proche de là où il a grandi, Guillaume Cayet a imaginé un texte incarné par trois acteur·rices, qui cherche d’autres façons d’habiter le monde, face à la crise climatique. Avec ses rythmes galvanisants, la musicienne Anne Paceo composera pour un chœur présent sur scène, faisant basculer ces récits dans la dimension du mythe.
EXTRAIT
Cyclope annonce:
— C’est l’heure, faut y aller.
On pousse un gros cri. On aboie plusieurs fois en fractionné.
On se donne du courage. Puis ça commence à se mettre en route.
On dit au Vieux Lucien qui veut pas bouger qu’il ferait mieux d’y aller, que c’est fini ici, que demain y’a les bêtes à sortir et les vaches à traire.
Le Vieux Lucien bouge pas. Il tient un bout de bois entre ses mains et dit:
— c’est chez moi ici. Avec ma mère, on venait ici gamin. C’est notre Bois. Je bougerai pas d’ici. Derrière l’estrade, juste à côté du Charme, y’a notre cabane. Une ancienne cabane de chasse dans laquelle on vit depuis trois ans.
Saloma la fixe.
— Tu viens? je dis, Faut se mettre en place.
Saloma ne bouge pas. Elle me regarde comme on toise une morte.
— C’est marrant, dit-elle, comment d’un coup la fin ressemble au commencement. Tu te souviens de notre arrivée? C’est comme si les temps s’étaient repliés sur eux-mêmes et contenaient dans ce repli, la possibilité d’un monde nouveau.
J’enfouis ma tête profond dans la capuche de mon anorak et le Grand Tétras éponge mes larmes. Je regarde le Charme. La cabane. Cette île que nous avons habitée comme une terre. Cette nuit assassinera nos rêves.
« Je viens de la campagne.
Depuis gamin, j’écris sur les arbres. À l’école primaire, au couteau, nous gravions nos noms avec mon amoureuse de l’époque dans l’écorce d’un sapin. Puis plus tard, une fois devenu auteur, j’ai eu l’envie pulsionnelle et répétitive de plonger mes personnages dans l’univers sylvestre. La forêt, ses habitant·es : humains et non-humains. La forêt a toujours été pour moi un espace poétique et politique. Poétique, car elle me rappelait mes nombreuses pérégrinations enfantines, mes dérives. Politique, car juste à côté de chez moi la défense d’un Bois à Bure était devenue le fer de lance d’une contestation plus massive contre l’installation d’un centre d’enfouissement de déchets radioactifs. […]
Aujourd’hui, je côtoie énormément de littératures éco-féministes, de pensées d’écologie radicale. Je crois que c’est la seconde impulsion de ce spectacle. Parler pour une fois d’environnement. Parler pour une fois, dans mon écriture, de solution à la «crise climatique». Parler pour une fois de comment sortir la tête haute des brouillages politiques dans lesquels notre société est engluée. Et pour cela, ramener encore ces réflexions à ma propre expérience de gamin dans les bois.
Dans Le temps des fins, il est question de tout cela. D’utopies et de forêts. De fin d’un monde, de désastre annoncé, et surtout, et toujours, de luttes. Car face aux annonces collapsologistes d’un effondrement programmé, d’un monde en sursis, quelles armes avons-nous pour lutter ?
Le temps des fins sera le récit de ces hommes et femmes sans monde, pris·es au piège entre un monde qui tarde à mourir et un autre qui tarde à naître. […]
En filigrane du temps des fins, expression empruntée au philosophe allemand Günther Anders, cette pensée : « il semble plus facile d’imaginer la fin du monde que la fin du capitalisme». Si la fin du monde nous semble plus préhensible parce que nous en possédons des images et des représentations, il nous reste justement à produire des images et des imaginaires de ce que pourrait-être la fin du capitalisme.
Le temps des fins, à sa toute petite échelle, tente d’en offrir une représentation. » – Guillaume Cayet
CRÉATION le 22 mai 2024 à La Comédie de Valence.
TOURNÉE
REVUE DE PRESSE
La Vie : « Excellemment joué, ce spectacle offre une vision acide, quoique non dépourvue d’humour, des effets perturbants du réchauffement climatique sur la psyché. Un tableau sombre qu’éclaire malgré tout la présence salvatrice de la solidarité humaine, ultime lueur d’espoir ».
Cultnews : « cette nouvelle pièce de Guillaume Cayet donne à vivre un récit stimulant, habité et juste. »
Cultnews, entretien avec Guillaume Cayet : « Il s’agit juste de laisser la possibilité à un monde plus vivable de surgir »
L’Oeil d’Olivier, entretien avec Vincent Dissez : « Curieux et avide de nouvelles expériences, il fait sa rentrée théâtrale dans Le temps des fins du prometteur Guillaume Cayet. »
L’Oeil d’Olivier : « l’auteur et metteur en scène s’enfonce dans une forêt de contes peuplée d’êtres politiques, et donne un souffle mythique aux luttes environnementales. »
La Provence : « Une fable écologique dans une Zad, comme un appel à agir. »
SNES-FSU Culture : « Guillaume Cayet illustre les idées dans des situations où le politique s’enlace au poétique. La scénographie de Cécile Léna est somptueuse. […] La pièce est portée par trois comédiens, Vincent Dissez, Marie-Sohna Condé et Mathilde Weil qui passent d’une époque à l’autre, d’un style à l’autre avec fluidité. Ils sont magnifiques. »
Les représentations du mercredi 16 et du jeudi 17 octobre seront adaptées en LSF
PRÉSENTATION DU SPECTACLE EN LSF
©Jürgen Nefzger, Bure ou la vie dans les bois, 2017
© photos du spectacle Christophe Raynaud de Lage
© vidéo Minimum Moderne
PRODUCTION La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche; Compagnie Le désordre des choses
PRODUCTION DÉLÉGUÉE La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche
COPRODUCTION Théâtre Ouvert, Centre National des Dramaturgies Contemporaines; Théâtre de la Manufacture – CDN Nancy Lorraine; Théâtre de la Cité internationale ; Scène nationale de l’Essonne; Espace 1789 – Saint-Ouen; Acb scène nationale Bar-Le-Duc; Lieux Culturels pluridisciplinaires de la ville de Lille; Centre culturel de La Ricamarie
Avec la participation artistique du Jeune théâtre national
Le désordre des choses est une compagnie conventionnée avec la DRAC Auvergne–Rhône-Alpes. Elle reçoit le soutien de la région Auvergne–Rhône-Alpes et du département du Puy-de-Dôme.
Guillaume Cayet est artiste associé au Théâtre de la Manufacture – CDN Nancy-Lorraine. La compagnie le désordre des choses / Guillaume Cayet est soutenue par le Département de la Seine-Saint-Denis dans le cadre de la résidence artistique à l’Espace 1789 de Saint-Ouen.
Guillaume Cayet est membre de l’Ensemble artistique de La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche.
REMERCIEMENTS LADAPT Le Safran dans le cadre du programme Culture et Santé soutenu par l’ARS, la DRAC, et la région Auvergne-Rhône-Alpes ; Jazz Action Valence ; restaurant l’Arcade ; Marc Bordreuil ; Chantal Jaunac ; Mairie de Saint-Michel-de-Chabrillanoux.
Le texte est publié aux Éditions Théâtrales.
Texte et mise en scène Guillaume Cayet
Éditions Théâtrales (2024)
Avec Vincent Dissez, Marie-Sohna Condé, Mathilde Weil
Avec la participation d’Achille Reggiani
Scénographie Cécile Léna
Lumière Kevin Briard
Création musicale et sonore Antoine Briot
Vidéo Julien Saez, Salomé Laloux-Bard
Costumes Patricia De Petiville, Cécile Léna
Création masques Judith Dubois
Collaboration artistique Julia Vidit
Musique originale Anne Paceo
Avec les voix de Cynthia Abraham, Laura Cahen, Paul Ferroussier, Celia Kameni, Florent Mateo, Anne Paceo et Isabel Sörling
Régie générale Charles Rey
Conseiller littéraire Jean-Paul Engélibert
Équipe artistique pour la version LSF Anthony Guyon, Lisa Martin, Géraldine Berger (Compagnie ON OFF)
A partir de 15 ans
LUN, MAR, MER À 19H30
JEU, VEN À 20H30
SAM À 18H
Adaptation en LSF les 16 et 17 octobre
Carte TO | ||
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Plein tarif | 20€ | 14€ |
Tarif réduit | 14€ | 10€ |
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 8€ | |
Associations, groupesà partir de 6 personnes | 8€ | |
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 12€ |
Comme le nageur au fond des mers
Comme le nageur au fond des mers est un roman théâtral dans lequel l’empreinte du cinéma est forte.
Une fiction comme une enquête qui retraverse dans le monde d’aujourd’hui le mythe d’Orphée et d’Eurydice.
Alors qu’il est devenu amnésique, à la suite de la mort accidentelle de sa femme, un homme – documentariste sonore – décide pourtant de la ramener à la vie, et de modifier le passé, en se réfugiant dans l’ile de Milos où il·elle se sont aimé·e·s. Aidé dans cette enquête par des séries d’indices, d’enregistrements, notes cryptées… que lui a laissé son « ancien moi », et entouré par des médecins qui deviennent à son insu des personnages de son histoire, il reconstitue les éléments de son passé et rejoue véritablement l’histoire qui fut la sienne : celle d’un couple qui se déchire : entre lui, cet homme de cinéma attiré par les mythes éternels de la méditerranée et elle, la femme aimée, avocate à la Cour du droit d’asile inscrite dans l’urgence politique….
À Gabriele
EXTRAIT
OFF GUNTHER : Nous sommes arrivés hier avec Ariane dans l’île de Milos. Nous avons prévu de rester quelques jours pour mes enregistrements. Ariane veut ensuite passer plus de temps à Athènes. Mais demain, elle ira faire de la plongée et je recueillerai des sons pour mes archives. Pour mon film mémorandum, dont elle se moque tant. Je suis ici au cœur de l’Europe méditerranéenne. Je ne le sais pas, je le sens. Il y a ici des chênes millénaires qui ont tout entendu. Ils constituent ce fameux sanctuaire qui doit se trouver non loin du théâtre antique. Je suis sûr de pouvoir y recueillir des échos, capter des présences.
On entend le bruit de la bande qui tourne dans le vide puis la voix reprend.
Voilà en partie ce que j’ai sauvegardé de notre premier voyage.
On entend de nouveau le bruit de la bande qui claque.
NOTE D’INTENTION
« Notre œil ne peut enregistrer toutes les images réelles de nos vies, notre oreille ne peut capter tous les sons. La plupart du temps, nous reconstituons les scènes manquantes pour assurer une continuité, une persistance. Mon processus de fiction se glisse précisément dans ces trous, du fond de la mémoire d’où je tire des fils. D’où j’imprime des sensations. […]
Comme le nageur au fond des mers parle de mort et de résurrection. Des noyé·e·s de la Méditerranée. Des fantômes qui rôdent dans ces eaux-là. Mythes d’hier, histoires d’aujourd’hui. On rejoue les vivants et les morts, ensemble.
La pièce parle aussi de la folie d’une obsession amoureuse. D’un dédoublement de la personnalité où un moi du passé, au seuil de l’amnésie totale, charge son moi du futur de braver la mort afin de faire définitivement le deuil. Dire adieu. C’est une histoire d’amour à la fois folle, immense, et ratée. C’est aussi une renaissance. Le jeu. La vie. » – Bérangère Jannelle
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REVUE DE PRESSE
Création
Cult. News : « A la manière d’une enquête, le scénario haletant de la pièce Comme le nageur au fond des mers, nous fait entrer dans l’esprit d’un personnage amnésique. La fantastique scénographie d’Alban Ho Van se mêle merveilleusement à la mise en scène et au texte de Bérangère Jannelle, auxquels se marient des jeux sonores et lumineux tout aussi réussis. »
Hottello : « Un spectacle inventif et créatif, qui se démultiplie en situations troubles puis éclairantes, un objet savant et ludique à décrypter avec curiosité et dont les pièces de puzzle se re-mettent en place naturellement, selon l’élan enthousiaste des heures de la vie qui passe et la promesse de l’avenir. »
Piano Panier : « Une pièce complexe et dense, énigmatique et touchante, portée par une mise en scène très maîtrisée et une création visuelle et sonore magistrale. »
Avant la création
La Terrasse, décembre 2023 : « S’inspirant du mythe d’Orphée et d’Eurydice, Bérangère Jannelle crée une fiction contemporaine en forme d’enquête. Entre obsession amoureuse, perte de mémoire et tragédies migratoires. »
CRÉATION EN JANVIER 2024 à la Maison de la Culture d’Amiens
©Pierre Grosbois
PRODUCTION La Ricotta
COPRODUCTION (en cours) : Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines ; La Maison de la Culture d’Amiens ; le ZEF scène nationale de Marseille ; la scène nationale du Sud-Aquitain ; la Comédie de Valence
SOUTIEN Points Communs, Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise/ Val d’Oise
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National
Administration de production le petit bureau Virginie Hammel, Anna Brugnacchi
La Ricotta est conventionnée par le Ministère de la Culture DRAC Centre-Val de Loire et la Région Centre-Val de Loire
Texte et mise en scène Bérangère Jannelle
Avec Félix Kysyl, Emmanuelle Lafon, Leïla Muse, Elios Noël
et avec la voix de Mafing Traoré
Scénographie Alban Ho Van
Costumes Isabelle Deffin
Création sonore Félix Philippe
Création lumières Léandre Garcia-Lamolla
Photographie Benjamin Géminel
Régie générale Emmanuel Humeau
Régie lumières Hervé Frichet
Régie son Vincent Dupuy
À partir de 15 ans
LUN, MAR, MER À 19H30
JEU, VEN À 20H30
SAM 3 FÉV. À 20H30
SAM 10 FÉV. À 18H
Carte TO | ||
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Plein tarif | 20€ | 14€ |
Tarif réduit | 14€ | 10€ |
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 8€ | |
Associations, groupesà partir de 6 personnes | 8€ | |
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 12€ |
L’Âge de détruire
L’Âge de détruire, c’est un thriller du quotidien, le parcours d’émancipation d’une fille, Elsa, à travers les lieux et les objets qui composent le décor et les témoins silencieux de son histoire.
Justine Berthillot et Pauline Peyrade se retrouvent au plateau pour composer une « lecture – action », forme hybride inspirée de la frontalité de la performance, de l’esthétique de l’installation, du dépouillement de la lecture. Au plus proche de leurs écritures, de la page et du muscle, des gestes et de la littérature, elles portent ensemble l’histoire de la jeune Elsa, victime d’une mère abusive.
Composé en deux parties, le spectacle offre un récit visuel qui nous plonge dans l’appartement de la petite Elsa et de sa mère au moment de leur installation : le portrait d’un lieu et d’une femme en détresse, d’une mère abusive qui peine à habiter son espace de vie.
À l’intérieur de cela, surgit la littérature, frontale et dépouillée, qui explore la mémoire des murs, des corps et des voix qui hantent ces lieux, jusqu’à l’affrontement des deux femmes. Un geste tressé de corps et de mots qui dit les batailles du présent et les gestes d’une fille pour en finir avec l’héritage de la violence.
« L’âge de comprendre : l’âge de détruire… Et ainsi de suite. »
Virginia Woolf, Journal d’un écrivain
EXTRAIT
Dis-le encore. Je t’aime qui ?
Maman.
Dis-le.
Je t’aime, maman.
Tu m’aimes très fort ? Très, très fort ? Plus que n’importe qui au monde ? Et tu n’aimeras jamais personne d’autre autant que tu m’aimes ? Et tu m’aimeras toujours ?
Je t’aime et je n’aime personne d’autre sur toute la terre, maman, et pour toujours.
Je t’aime, mon Elsa. Dis, je sais que maman m’aime.
Je sais que maman m’aime.
Elle m’aime très fort.
S’il te plaît.
Quoi ?
On peut dormir ? S’il te plaît ?
Justine Berthillot et Pauline Peyrade
Justine Berthillot et Pauline Peyrade explorent les territoires de rencontre entre le mouvement et l’écriture littéraire depuis 2015. D’une création à l’autre, elles composent des récits trandisciplinaires qui puisent leurs langages dans le théâtre, le cirque et la danse pour donner corps et mots à leurs obsessions partagées : les femmes en lutte et les violences du quotidien. Accompagnées par le scénographe James Brandily, elles développent des fables noires, des agrès, des espaces qui font résonner la puissance d’évocation et d’étrangeté des objets familiers – lit, baignoire, banquette de voiture, table de cuisine.
Dans L’Âge de détruire, Pauline Peyrade et Justine Berthillot font se répondre leurs écritures respectives de manière radicale, affirmée et différenciée – pour mieux les rassembler.
CRÉATION en janvier 2024 – Les Quinconces et L’Espal, scène nationale du Mans
TOURNÉE
15, 16 et 17 janvier 2024 à Les Quinconces & L’Espal, Scène nationale du Mans
Du 11 au 23 mars 2024 à Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines
15 et 16 mai 2024 à la Comédie de Colmar – CDN Grand Est Alsace
REVUE DE PRESSE CRÉATION
À lire
théâtre(s) : « Un récit net et tranchant d’un parcours d’émancipation formidablement réussi dans l’articulation entre sa dimension littéraire et sensorielle« .
Untitled Magazine : « […] des interstices physiques et textuels s’immiscent jusqu’à notre intimité. On en sort bousculé.e.s. »
L’Humanité : « Pauline Peyrade et Justine Berthillot continuent leur exploration des souffrances féminines en nous plongeant dans le foyer d’une fille et sa mère. Elles allient les mots et le corps pour produire une forme hybride bouleversante. »
AOC : « Ce que Pauline Peyrade qualifie de « lecture-action » pour L’Âge de détruire creuse ainsi la tension entre performance et drame pour en offrir une traduction teintée de mélange ».
Sceneweb.fr : « Ainsi en va-t-il du spectacle comme du texte, tout en violences et en fragilités. En percussions et en sensations. De lumières crues en ombres projetées, […] il déploie sous nos yeux, saisi sous un angle particulier, un nouveau morceau du puzzle de ces générations de jeunes femmes qui traquent les violences ordinaires des schémas familiaux et sociaux. »
Libération : « L’Âge de détruire… Le titre fonctionne comme le meilleur commentaire du moment qui se vit aujourd’hui dans la société, donc sur scène. Comme une version chorale de l’incantation de Marguerite Duras : détruire, disent-elles. »
Médiapart : « L’écrivaine et la circarssienne se complètent, s’épaulent. Peyrade & Berthillot ont donné un nom à cela : « lecture-action », elles disent aussi «récit de plateau », cela pourrait être aussi « lecture en acte »’ . Ni théâtre à part entière, ni simple lecture, une tierce voie. »
Théâtral magazine : « Avec son écriture au plus près des sensations, Pauline Peyrade fait sentir que quelque chose d’anormal et de pathologique plane dans l’air. La violence s’accumule comme dans une cocotte-minute. Quand elle éclate, le lecteur est saisi« .
Hotello Théâtre : « Une performance, une lecture incarnée, à partir de l’insondable tristesse des existences explorées. »
SNES-FSU Culture : « Au cœur des mots s’inscrit le corps en mouvement portant la violence des émotions que la langue a laissées en suspens. »
Je n’ai qu’une vie : « L’âge de détruire est un coup de poing, un spectacle émotionnel qu’il faut savoir voir des premiers rangs de face, pour être dans le bain, pour bien le prendre dans la gueule. Un spectacle dont on sort marqué. »
A2S Paris : « Original, et plutôt réussi, ce spectacle est une adaptation théâtrale du premier – et, pour l’instant, unique – roman de Pauline Peyrade, L’Âge de détruire (2023), qui a reçu le Prix Goncourt du premier roman. »
L’Oeil d’Olivier : « Pauline Peyrade – Justine Berthillot, un duo à corps destructeur »‘
Culture cirque, interview de Gwénola David, directrice générale d’Artcena : « Je viens de voir L’âge de détruire, de Pauline Peyrade et Justine Berthillot. C’est une création très forte, à la fois acrobatique et théâtrale. »
À écouter
Coup de projecteur, TSF Jazz : « Ce n’est ni du théâtre, ni de la littérature, ni de la danse, c’est un petit peu de tout ça en même temps. »
Tous en scène, France Culture : « Le roman entre en scène donc. Il ne s’adapte pas. Ce sont nos oreilles, nos yeux, nos corps, qui vont devoir s’adapter, et recevoir les impacts de la littérature qui nous fait face. »
REVUE DE PRESSE ROMAN
Diacritik, janvier 2023 : «Un choc, une fulgurance, un récit magistral : voici les quelques mots qui viennent immédiatement à l’esprit pour qualifier le puissant premier roman de Pauline Peyrade…»
L’Obs, mars 2023 : « Une telle douceur pour décrire une telle violence. Des mots si délicats pour désigner des maux si profonds. […] Ce premier roman magistral est une confession cinglante, mais qui prend son temps, s’attarde dans les détails, les descriptions minutieuses des décors et objets de la vie quotidienne… »
Félicitations à Pauline Peyrade ! @EdeMinuit #goncourt #goncourtpremierroman #goncourtdeprintemps pic.twitter.com/eEZxXiIxq1
— Académie Goncourt (@AcadGoncourt) May 11, 2023
©Catherine Mary-Houdin / Martin Agyroglo
PRODUCTION Morgane
COPRODUCTION Les Quinconces & L’Espal, Scène nationale du Mans ; Comédie de Colmar – CDN Grand Est Alsace ; Théâtre Ouvert – Centre National des Dramaturgies Contemporaines ; CCN2 – Centre chorégraphique national de Grenoble dans le cadre de l’accueil studio ; CN D à Lyon
SOUTIENS Le Château de Monthelon, atelier international de fabrique artistique ; La Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon – Centre national des écritures du spectacle ; Centre National du Livre ; l’Onda – Office national de diffusion artistique ; la Région Île-de-France pour l’ÉPAT
REMERCIEMENTS Marie Pluchart, Julie Mouton, Frédéric Cauchetier / Triptyque Production
Production et diffusion Le bureau des écritures contemporaines (le BEC) Romain Courault et Claire Nollez
L’Âge de détruire est paru aux éditions de Minuit en 2023 et a reçu le prix Goncourt du premier roman 2023
D’après le roman L’Âge de détruire de Pauline Peyrade (ed. de Minuit 2023, Prix Goncourt du premier roman 2023)
Mise en scène et adaptation Justine Berthillot, Pauline Peyrade
Avec Justine Berthillot, Pauline Peyrade
Chorégraphie Justine Berthillot
Collaboration à la scénographie James Brandily
Construction Jérémie Hazael-Massieux
Création sonore et régie son Guillaume Léglise
Collaborateurs artistiques Rémy Barché, Mosi Espinoza, Esse Vanderbruggen
Création lumière et régie générale Aby Mathieu
À partir de 14 ans
LUN, MAR, MER À 19H30
JEU, VEN À 20H30
SAM 16 MARS À 20H30
SAM 23 MARS À 18H
La configuration de la petite salle ne permet pas l’accès aux retardataires.
Carte TO | ||
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Plein tarif | 20€ | 14€ |
Tarif réduit | 14€ | 10€ |
Universités, lycées, collègesgratuité pour les accompagnateurs | 8€ | |
Associations, groupesà partir de 6 personnes | 8€ | |
Comité d'entreprise, adhérents Ticket-Théâtre(s) | 12€ |